A propos du pas en mm, je dois dire que sa disparition est quelque chose qui m'agace passablement.
C'est bien ainsi que les scies étaient vendues autrefois : sur indication du pas en mm, autrement-dit sur l'espacement des dents en millimètres.
Mais depuis quelques décennies, par allégeance au monde anglo-saxon, les scies sont vendues en TPI (dents par pouce) ou PPI (pointes par pouce, soit TPI+1).
Le système métrique étant bien plus cohérent que les mesures impériales, très disparates d'une unité à l'autre, je considère cela comme une régression pure et simple...
Pas grand chose à ajouter à ce qui a été dit... sauf pour moi un indispensable : avoir en plus une paire de tréteaux à trois balles dont la traverse supérieure est doublée d'une planche-martyr qui va se prendre les coups de scie circulaire quand on découpe des panneaux encombrants ; traverse qu'on remplace quand elle est trop morflée.
Vu le peu de précision des machines d'entrée de gamme, et notamment le jeu sur les coulisses dont elles souffrent quasiment toutes, je ne vois pas trop l'intérêt.
Mais garde précieusement ce comparateur, il peut t'être utile pour pas mal de choses à l'atelier, à commencer par des réglages fins de machines.
La Lurem solo4 présente une particularité dont il faut tenir compte : pour les coupes biaises, ce n'est pas sa table qui s'incline mais son bâti. C'est un avantage en terme de stabilité de l'ouvrage, mais l'encombrement qui en découle (il faut de la place sur le côté de la scie pour pouvoir l'incliner) peut être problématique dans un petit atelier (sauf à installer la machine sur roulettes)
Il existe des résines durcissantes pour bois vermoulu. Mais cela a l'inconvénient d'exclure ensuite peu ou prou toute finition pénétrante dans le bois. Ca vaudrait peut-être le coup de tenter de pigmenter la résine en noir avant imprégnation ?
Pour le ponçage d'une pièce de ce genre je ferais ça au flexible.