non non
Personnellement je ne pense pas que cela ait un sens de parler de numéro 4 - qui est une référence aux rabots métalliques Stanley - pour un rabot en bois.
Revue différente, oui, et surtout c'est un autre éditeur
Le tour à bois est effectivement bien pratique pour faire des manches, mais on peut s'en passer. Il y a quelques années (hum... quelques...) j'en avais fait à la défonceuse sous table avec un gabarit de forme pour calibrer et une fraise à chanfrein pour leur donner la forme octogonale souhaitée.
Utilisées sous table... le long d'un guide parallèle. Car même avec une table les fraises à roulement sont très utiles dès que l'on travaille des pièces chantournées (comme pour le travail à la volée, cf ci-après "Ateliers Le Chapelain")
C'est vraiment pas sérieux : sans donner la durée de la pause-déjeuner, ce reportage n'a aucune crédibilité !
Bravo, jolie restauration, c'est toujours sympa quand des outils reprennent vie.
CQFD 
excellente réponse, merci !
Merci du partage, j'adore son travail, je sens que je vais me régaler en regardant ça !
Ah voilà,j'allais poser la question : était-ce vraiment un feuilleret au départ, ou plutôt un guillaume... j'ai la réponse !
bernardrebout ça reconnaît au style, au "look" du rabot : forme du coin, de la trémie, le fait qu'il soit en hêtre (en France c'était plutôt cormier dans le nord et chêne vert dans le sud) etc...
dneis exact !
je ne prends même pas 2 mm !, la couche de mélamine n'est pas si épaisse.
robinier = robinia pseudo acacia... c'est bien l'acacia,tu ne t'es pas trompé ; sauf qu'en réalité ce que tout le monde appelle acacia n'en est pas un.
j'ai fait une recherche Aussie Oil... le moteur de recerche m'a renvoyé vers des produits capillaires ! Tu peux nous en dire plus s'il te plait ?
du côté de Montreuil, je suppose ?
Merci
il y de bons bouquins sur ce sujet. Pour le classique, y compris des recettes de fabrication, il y a "les secrets u vernissage", éditions Charles Moreau, un bouquin ancien (et donc austère, sans illustrations) maintes fois réédité. Sinon "l'artisan vernisseur" de Jean Cazzara. Mais pour l'un comme pour l'autre il faudrait les trouver d'occasion
Mandrin Longworth ; je m'en étais aussi fabriqué un il y a pas mal d'années, c'est effectivement une solution économique pour éviter l'achat de mors de reprises pour mandrin de tour. J'avais quand même trouvé que ça ne coulissait pas si bien que ce que j'aurais voulu
je ne l'ai pas sous les yeux il me semble que j'avais mis du 8 ; effectivement ça peut suffire à faire la différence.
Ah, l'esprit de compétition... je crois que je ne comprendrai jamais ! Ceci étant cela dénote un remarquable savoir-faire.
Quand on aime les outils et l'artisanat, c'est un lieu qui justifie à lui tout seul le déplacement à Troyes (mais ce serait dommage de ne pas en profiter pour visiter cette superbe ville)