Merci glaude !
Pour le débit, je ne sais pas encore, peut être via une scierie.
Un conseil ?
Merci Bonbonveronbi !
J'ai revue ma copie en reculant le centre du rayon de balancement (si j'ai bien compris ce que tu m'as expliqué)
En plus je me suis aperçus que j'avais fait une erreur dans le balancement à la herce de mon premier jet.
En tout cas je trouve ce résultat plus probant
Je continu en utilisant d'autre méthode de balancement
Merci Bonbonveronbi
Je ne connaissais pas cette methode.
Je regarde ça demain.
Merci beaucoup
Bonne soirée
ok, mais j'avoue être un peu sec sur l'histoire de la plaquette d'arrivée.
ci dessous deux vue de l’intégration de l'escalier.
La plaquette doit-elle être décalé ou bien tangente a la trémie (photo réelle a venir)
question additionnelle: la trémie fait 870 mm au niveau du plancher, dois-je respecter cette valeur pour dimensionner l'escalier (position de la ligne de foulée) ?
Bonbonveronbi
Si l'escalier sera cloisonné, avec (sylvainlefrancomtois) placard prévu en dessous (chambre parentale).
Faux limon coté mur et limon coté jour. Droit, a la française, courbé avec le balancement des marches.
Main courante à l'étage (adaptation de celle-ci : Rambarde)
Avec contre-marches.
Pour info, la dalle de l'étage est un plancher massif en chêne sur solivage (maison de 1954). Lors de la restauration de la maison, nous avons créé un faux plafond autoportant en dessous (que je ne referais pas, d'ailleurs, plutôt refaire un plafond suspendu).
Salut,
J'ai retravailler le plan de l'escalier, en intégrant une plaquette reprise sur le plancher existant (la bordure du plancher a été rajoutée récemment, car il y avait un mur initialement).
J'ai donc ajouté le limon coté jour de 65 mm d'épaisseur et un poteau d'arrivée de 75x75mm. Enfin, j'ai mis l'emprise des contre-marche.
Le balancement a été fait grâce à la herse que tu m'as montré.
merci sylvainlefrancomtois
Merci etiennedesthuilliers !
Bonjour etiennedesthuilliers
Je partage entièrement cette dernière réflexion que j'ai entendu, il y a pas mal de temps, de la part d'un scientifique dont le nom m'échappe, et qui présentait la chose ainsi :
"La connaissance c'est comme un ballon de baudruche : Si l'on considère l'air à l'intérieur du ballon comme étant ce que l'on connais, alors on se rend rapidement compte que plus le ballon se rempli, plus la frontière entre l'on connais et ce que l'on ignore est immense".
Cela dit, bien que je respecte l'expérience et l’œil critique qu'elle apporte sur les applications théoriques, en particulier dans certains cas de figure. Elle est, par définition sujette a expérience. Sauf que, dans mon cas, je ne suis qu'un humble amateur et je me raccroche aux maigres connaissances que j'ai acquise, pour la plupart grâce au pas à pas de sylvainlefrancomtois (Petit traité d escaliers pour l air du bois), et aux retours que j'ai comme celui de Bonbonveronbi ou de JPA33.
Merci JPA33 !
Je ne serais pas très original face aux autres commentaires, mais en plus de l'encouragement a continuer dans cette voie, je tenais également à souligner ta publication par son importance en terme d'apprentissage. L’échec/erreur n'est pas une fatalité mais bien une étape essentielle de l'apprentissage et je salue sincèrement ta démarche de nous la présenter ainsi.
courage, le succès n'est que le résultat d'une succession d'échec.
@+
Pas nécessairement, Je rejoint Mickael.
"A l'époque" il était souvent plus simple de fabriquer un système compliqué comme une table élévatrice, car précisément, c'est par l'assemblage pièces simple (ici des bielles), et donc facile a fabriquer, que l'on obtient la cinématique voulue (ici, monter/descendre).
Au final la mise au point peut être laborieuse et la prise de jeu lié aux multiples pièces difficile voir impossible à compenser.
Boris Beaulant tant que le compte de doigt reste le même avant et après. Mais c'est sûr, c'est top !
échiquier
figurines
tableau
octaèdre