Bonjour lamalleencoin !
Si on respectait les consignes, ce serait bien triste. Encore que je ne suis plus vraiment un particulier mais un micro chef d’entreprise bénévole. J’ai pris ma retraite de salarié il y a quelques mois après de nombreuses années dans une tres grande entreprise où je me suis bien amusé et ai toujours su trouver les marges de liberté d’action dans mes activités.
Il se trouve néanmoins que tes interrogations m’interpellent car j’ai organisé ma succession professionnelle avec soin et surement avec succès (le successeur et son patron semblent ravis).
J’ai trouvé très intéressantes les réponses de Kantaro et de Chatongris (entre autres).
En fait, Ce que tu voudrais, c’est que ton entreprise te survive. C’est un nouveau projet qu’il faut prendre comme tel. Et s’y investir complètement.
D’abord il faut que tu te fixes un cadre temporel : c’est 5 ans ou 10 ans ou autre chose, mais faut décider : comment attirer un futur entrepreneur motivé sans un cadre précis ?
Et surtout ne pas penser qu’il doit juste mettre en oeuvre tes propres idées et acquérir ton savoir-faire. On dirait effectivement que tu voudrais mettre la main sur un clone qui refasse ton parcours en mieux (et en parlant anglais).
Le plus dur, c’est surement de changer de « mindset » pour accompagner quelqu’un qui va prendre ta structure et la porter dans un projet qui sera le sien et où il te faudra l’aider en se mettant à « son service » : le plus souvent, ça se passe mal dans la vraie vie ! Mais tu n’es pas à l’abri de trouver l’oiseau rare … et de t’entendre avec lui. A condition d’accepter de jouer un role sûrement bien différent de ce que tu fais aujourd’hui.
Comment le trouver ? Aucune idée, je ne connais pas ce milieu. Le conseil de Kantaro me semble pertinent de regarder du cote de fonds spécialisés s’il en existe. Ça milite bien sur aussi pour une clarification anterieure de ton projet qu’il faudra leur « vendre » commercialement.
Espérant que mes reflexions aient quelques utilités. Parce que la malle que nous avons acheté il y a bien longtemps nous rend toujours fidèlement service.
Alain
Pour le lavage, j’ai pas d’idée précise mais les fibres textiles seront, au fil des lavages, usées et détendues certainement, donc une filtration moins fine. Mais c’est intuitif et je ne sais pas dire au bout de combien de lavage.
Pour les raccordements entre tes machines et l’aspirateur, ta question n’est pas très claire. Pour l’aspirateur, je suppose que 100 mm, c’est le diamètre d’entrée sur lequel va arriver le tuyau ou la gaine reliant tes appareils à cet aspi.
Le fait qu’en amont de ta turbine, ton diamètre augmente va faire baisser la vitesse de circulation de l’air dans la partie en 120mm. C’est pas forcément problématique, la question est plutôt sur le dêbit d’air que pourra tirer ton aspirateur en fonction des pertes de charge totales de ton réseau. S’il est trop faible, la vitesse d’air dans le réseau et la dépression au niveau des outils sera peut être insuffisante … ou pas.
Soit tu te tapes le calcul de ton installation (y a un tuto quelque part sur l’ADB avec un fichier excel de calcul), soit tu raccordes tout, tu démarres et tu vois si ça marche.
PS : Une réduction conique sera de toute façon mieux qu’un raccord à l’arrache avec des angles droits
L’AF22 est une grosse bécane mais la séparation entre les deux sacs ne sert pas à grand chose effectivement.
Pour ton usage, je suppose que tu ne produits pas des copeaux et de la sciure en meme temps.
Un moyen simpliste si tu usines un gros volume de copeaux que tu penses réutiliser, mettre deux sacs neufs (au moins le changement de sac sur les Felder est très simple et rapide) et remettre ensuite tes sacs tous venant pour les usinages mixtes ou sciure.
Plus élaboré, un cyclone en amont du grpupe d’aspiration avec un by pass. Meme principe, tu « by pass » sauf quand tu fais du beau copeau récupérable.