Merci Fabien R, c'est une bonne piste, économique et facile à mettre en oeuvre !
En dehors de la protection aux sollicitations il y a l'esthétique et peut-être aussi le vieillissement à l'air et aux activités humaines à l'intérieur, la poussière...
Merci Hervé-71 ! J'y pensais... Je l'utilise beaucoup à l'atelier, sur des petits objets, éventuellement diluée dans l'essence de térébenthine et aussi pour faire mon encaustique avec de la cire d'abeille.
Ma réticence : l'odeur, assez persistante quand même...
Bingo Olivier Vernhettes 10h en effet c'est pas si long, à moins de rester devant la machine à regarder la magie opérer
J'ai imprimé sur plusieurs jours des clips pour mes plinthes de cuisine (sans compter une paire de prototypes), c'est très satisfaisant et parfaitement adapté à mon besoin !
Economique je ne sais pas... c'est pas avec ça que mon imprimante sera amortie !
En tout cas je suis curieux de voir ton "3D-printed must-have for woodworkers"
Bingo bah finalement pas tant ! Peut-être que la forme de mes clips offrait de la tolérance.
Je ne crois pas qu'il y ait déjà un post focalisé sur les impressions 3D utiles à l'atelier. Bonne idée !
La patine à l'huile de coude ?
Je n'ai pas résisté à lui donner fière allure et je ne pense pas qu'il en souffrira.
Promis un certain temps, quand il aura un peu servi, je vous ferai un retour.
BoodWood merci pour ton encouragement !
J'avoue que j'ai un peu mis de côté cette activité là. Même avec un simple appareil photo et un pied, c'est assez chronophage et moins spontané.
Je vais tâcher de me motiver au prochain projet
BoodWood exactement.
L'avantage en revanche c'est que ça encourage à soigner le travail.
Le montage c'est long aussi!
Neiru ah ?
Je suis curieux d'en savoir plus sur cette pince pour denture fine.
J'ai acquis récemment deux scies Veritas, une à queues d'aronde :
- une à queues d'aronde de 9 pouces et 14 TPI,
- une autre de 11 pouces et aussi 14 TPI mais pour coupe transversale.
Après un premier réaffutage j'ai déjà réduit un peu la voie et je redoute le jour ou il faudra les avoyer à nouveau...
Empiècement de la lumière
Grâce aux bons conseils et à un petit cadeau d'etiennedesthuilliers, j'ai inséré une petite pièce d'amourette dans l'avant du fût, pour retrouver une lumière propre, plus fine si besoin et en bois très dur.
Après collage, il faudra prolonger la première rainure d'assemblage des flancs et du fût, avec délicatesse...
Restauration quasiment terminée !
Collage effectué avec de la Bostik R22.
Nettoyage au racloir.
Rectification de la semelle.
Affutage du fer, plutôt droit pour l'instant.
Reprise du contre-fer.
Merci etiennedesthuilliers pour vos investigations, je serai ravi d'avoir votre retour.
Pour ce qui concerne la restauration, j'avoue ne pas trop savoir comment l'aborder. Les parties métalliques ne poseront pas problème je pense car elles sont simplement un peu rouillées mais le fer est propre. Le contrefer a sérieusement besoin d'être repris, il a reçu des coups !
Pour les parties bois ça me semble plus délicat. Je vais tenter de mouiller et chauffer pour décoller le flanc qui se désolidarise déjà...
Des pistes pour la restauration ?
etiennedesthuilliers ouf, je n'en ai pas mis. En revanche, j'ai suivi les conseils de Chaluthier et utilisé de l'alcool et des coins en hêtre pour finalement réussir à décoller les flancs sans dommages ! L'alcool s'est vite évaporé.
Merci etiennedesthuilliers ! A moins que vous y teniez vraiment, je pense opter pour un prélèvement sur un autre rabot dont la cause est perdue.
Merci etiennedesthuilliers.
Je dispose de :
- charme,
- hêtre,
- robinier,
- frêne,
- chêne,
- noyer,
- iroko.
L'un d'eux pourrait convenir ?
Sinon pour une alternative à la colle chaude historique, que conseillez-vous pour le collage du fût ?
etiennedesthuilliers c'est fascinant ! Je vais tâcher de vous appeler
etiennedesthuilliers bien reçu votre courrier, merci beaucoup, tout est parfait !
J'ai pu refaire une pièce de lumière, collée et serrée, au chaud, dans une atmosphère sèche, avec de la colle vinylique à temps ouvert long (Bostik R22). Quelques photos plus dans la question.
Merci Chaluthier !
J'utilise la colle d'os/nerf de plus en plus mais pour l'instant je n'ai pas eu besoin de décoller, ce sera donc l'occasion, d'autant plus que je dispose déjà des produits et outils nécessaires.
Quand j'attaquerai la restauration je reviendrai ici pour la partager.
Chaluthier merci encore !
Je n'ai pas résisté et les flancs sont déjà séparés du corps, sans problèmes. Petit à petit, en utilisant des petits coins en hêtre faufilés dans les espaces déjà ouverts, en infiltrant de l'alcool dénaturé à 98%, pratiquement pas de dégâts, juste quelques échardes dans les rainures.
Il y a déjà eu une tentative de collage par des mains peu délicates, on dirait de l'époxy, c'est blanc et dur. Je vais devoir nettoyer ça soigneusement avant d'envisager de recoller, à la colle d'os et de nerf.
La lumière ayant déjà pas mal reçu, j'hésite à mettre une pièce. J'ai dans ma petite collection de vieux rabots quelques causes perdues à qui prélever du bon bois...
Qu'en penses-tu ?
Aussi, quel serait le meilleur usage pour cette varlope ?
Si je comprends bien le mécanisme, il n'y a pas de moyen d'ajuster le fer latéralement, ce qui imposerait d'affuter parfaitement le biseau pour espérer des copeaux fins et homogènes. Je tendrais donc vers un usage plus "grossier" avec un fer cambré.
Ou bien j'opte pour une rénovation de type décorative...
Chaluthier, pour continuer la restauration :
Les mécanismes d'avancement du fer et de serrage sont faits d'une vis, terminée par une jolie clé d'un côté et de l'autre une rondelle bolquée par écrasement de la tige filetée.
Je n'ose pas tenter d'enlever ces rondelles mais sans cela, impossible de retirer les tiges filetées pour les nettoyer... Un peu frustrant. Un conseil ?
Chaluthier waouh, oh non je suis pas encore au collage et il me faut digérer toutes ces infos, merci beaucoup !
dneis elles ne sont pas très oxydées,surtout sales, mais suffisamment fonctionnelles. Je ne pense de toute façon pas les retirer et risquer de les abîmer...
J'hésite encore aussi à empiécer la lumière dans la mesure où j'envisage la fonction riflard, qui ne nécessite pas qu'elle soit fine et régulière. A décider avant de coller à nouveau les flancs au fût.
Chaluthier finalement je vais bientôt envisager le recollage... après empiècement d'une petite portée pour refaire la lumière.
J'aimerais bien tenter la colle animale et en profiter pour faire quelques essais avec l'urée, ça me servira sûrement pour d'autres projets.
As-tu retrouvé des dosages d'urée ?
Sinon, quelle autre colle recommanderais-tu ? Une vinylique fluide à prise lente ?
Vue la surface de collage importante je présume qu'il me faudra limiter les excès pour permettre leur fuite...
Chaluthier merci.
Je vais certainement faire des essais mais ça me refroidit un peu pour le collage du fût et etiennedesthuilliers me le déconseille.
Et puis en ce moment il ne fait pas chaud à l'atelier, le petit soufflant ne suffira pas à y créer une atmosphère tropicale !
Chaluthier merci encore.
Finalement j'ai opté pour une petite pièce de charme (issu du bois de chauffe de mes parents, ce sera là ma contribution affective!). C'est la première fois que je passe le ciseau et la guimbarde dans du cormier, quel régal ! La sensation la plus proche que je connais est avec le poirier, tendre...
Ce n'est pas encore collé, je pense faire ça avec une bi-composant expoxy, pour ne pas trop virer dans le purisme de la restauration.
La colle de peau froide serait composée uniquement de colle de peau et d'urée, pas d'os ni nerf ?
etiennedesthuilliers executionbois , je n'ai pas encore collé la pièce de charme, qui me semblait être un bois assez dur.
Si vous pensez vraiment que c'est si dommage voire une bêtise, je peux encore 'changer d'essence comme vous le suggérez.
Comme le mentionnait Chaluthier, insérer de l'exotique me paraissait aussi dommage.
Me voilà donc embarrassé par le choix !
Il y a aussi cette question de collage ...
Vous l'avez compris, c'est une première pour moi qui ne suis qu'un simple amateur, heureusement bien accompagné, a distance certes, par des experts !
Merci à tous les deux Chaluthier etiennedesthuilliers !
Soyons fous, je veux bien un petit bout d'amourette pour améliorer la lumière de ce rabot !
Il a clairement été malmené, à en juger par les rayures sur la semelle, la lumière bousillée, le fer et surtout le contrefer pire encore, et le pompon : un des flancs ouvert et rebouché assez salement (finalement je pense avec de la colle blanche, qui en guise d'exemple ne comble pas bien les vides !).
Si j'arrive à redonner un usage à ce spécimen, en respectant un minimum son histoire et vu le mécanisme breveté de JB Fremy, j'envisage un usage de type riflard. Alors je serai content, surtout s'il fredonne !
etiennedesthuilliers merci ! Vous avez mes coordonnées dans votre messagerie de l'Air du Bois.
Merci dneis ! C'est tout a fait ça, au format varlope près.
Je vais finir par acquérir ce bel ouvrage.
En complément, voici un autre exemplaire décrit et restauré, sur un autre forum.
dneis en nettoyant un peu les différents composants de ce rabot, voici les marquages plus ou moins visibles :
- sur le dessus du fût à l'avant : "forges de Vulcain Paris"
- sur le haut du fer, face visible : "Peugeot Frères ACIER FONDU ANGLAIS GARANTI", numéro "15" par dessus, qu'on retrouve aussi sur le fût.
dneis et etiennedesthuilliers j'ai commandé le fameux ouvrage chez Vial
etiennedesthuilliers, cerise sur le gâteau, Pierre Bouillot vient de m'envoyer son article sur les rabots de Jean-Baptiste Fremy !
Alors merci à vous !
Merci executionbois ! En effet, point de coin classique en bois sur le fer, mais ce U métallique à la place. Le support en bois à l'arrière du fer est également assez original, en rondeur, et accueille un mécanisme à vis pour avancer ou reculer le fer...
Paco64 je ferai mon possible mais ça semble difficile, l'outil a subit quelques outrages, la semelle est bien rayée, la lumière est bouffée et un flanc se décolle franchement. D'ailleurs, comment appelle-t'on ce type d'usinage, une sorte d'enture en créneaux ?
Salut qperroit,
j'ai depuis peu une DR310 et un aspirateur FM300M avec cartouche filtrante.
Pour régler les tables ce n'est pas sorcier, la vidéo de Holzprofi est assez claire et j'ai suivi le processus sans grande difficulté.
Il faut d'abord régler la table de sortie par rapport aux plaquettes de l'arbre. Une petite règle métallique bien droite fait l'affaire, sinon un morceau de bois bien plan. Le mieux serait d'avoir l'outil de mesure présenté dans la vidéo...
Ensuite pour l'alignement des tables entre elles, il faut une bonne règle bien droite comme référence pour aligner les tables.
Les deux tables sont réglées grâce à des vis à tête 6 pans, qui font butée et blocage. Il faut démonter le capot arrière, le guide parallèle, le cache avant avec les poignées de manipulation de la machine. Le mieux reste encore de faire les réglages avant de monter tout ça pour la première fois !
Le réglage de la table de rabotage se fait avec une clé 6 pans et quelques rabotages de comparaison gauche droite, avec un bon pied à coulisse.
Un peu de patience et de tâtonnement te donneront un bon résultat. Je n'ai pas encore assez de recul pour dire si les réglages tiennent bien dans le temps, mais ça m'a l'air stable.
Le compteur analogique de hauteur est relativement précis mais il peut être utile de le régler, j'ai environ 2 dixièmes de mm d'écart entre compteur et réalité, largement suffisant pour régler la hauteur de la première passe.
Pour l'aspirateur, je ne regrette pas le choix du FM300M, qui est plutôt entrée de gamme mais pas non plus sous-dimensionné. La cartouche filtrante, même si elle n'est pas donnée, m'a parue indispensable pour ma santé vu que l'aspi reste dans l'atelier. Les sacs en tissus sont connus pour diffuser les particules les plus fines, invisibles (ou pas) et dangereuses (vicieuses quoi!) dans l'atmosphère de ton atelier. J'envisage d'intercaler un cyclone entre la machine et la turbine pour faciliter la séparation des copeaux, le remplissage d'un bac plutôt qu'un sac, et protéger la turbine des chocs de cailloux ou autres éléments durs quand j'aspire le sol.
Je n'ai pas d'autre élément de comparaison sur ce type de machine, c'est mon premier équipement "sérieux" mais j'ai été convaincu par le service de la marque Holzprofi, rassuré pour un éventuel SAV et ça rentrait dans mon budget. Cela m'a donc éviter d'opter pour une machine plus bas de gamme, même si moins chère, que j'aurais peut-être regretté, ou de dépenser trop d'argent dans un modèle pro, auquel je ne peux pas prétendre financièrement pour un usage "loisir".
En espérant que ça t'aide !
Hello,
Il est déjà bien beau!
Le choix de presse(s) n'est pas simple et il n'y a pas une bonne réponse. Cela va dépendre de comment tu travailles, avec quels outils et sur quels projets.
Je suppose que la fabrication de ton établi t'a permis de te faire une bonne idée de ce qu'il te faut, tes troisièmes mains !
Je peux te partager ma petite expérience et te dire que je suis ravi de la presse frontale a vis en bois que j'ai installée sur mon établi, que tu peux voir en détails ici si ça t'intéresse.
Je viens tout juste d'installer la petite presse à encastrer de Veritas en bout de plateau, commandée sur le site cité juste au dessus. Ça a l'air bien. L'idée est de pouvoir maintenir tout format de pièce a plat sur l'établi, pour rabotage et usinage, aux outils manuels principalement.
Je compte faire un retour bientôt après un peu d'usage et l'ajouter au catalogue d'outils...
Étudie bien toutes les possibilités de maintien sans presse avant d'investir dans de la quincaillerie coûteuse.
Artanux oui beaucoup d'approches différentes existent pour tenir le bois sur ou contre l'établi.
Le choix de la presse à encastrer Veritas était motivée par le prix, l'encombrement et la facilité de mise en oeuvre, au détriment des avantages d'autres presses plus élaborées et parties intégrantes du plateau.
A l'usage (récent), je la trouve bien pratique et j'utilise beaucoup plus souvent la partie droite du plateau qui était jusqu'ici délaissée !
Bravo pour ton projet !
Merci etiennedesthuilliers ! Ne rien mettre m'arrange évidemment. Je repousse la mission à plus tard et garde votre suggestion de l'encaustique liquide. Me conseilleriez-vous une référence en particulier ? Est-ce que la formule d'Hervé-71 cire d'abeille et essence de térébenthine serait indiquée ?