Je suis d'accord avec vous maître dans le cas ou il doit produire un exposé. Ceci dit, la question est intéressante et peut introduire le commun des mortels à ce vaste thème. Sans pour autant devoir se procurer un livre spécifique à cette problématique.
Je ne suis pas très au clair sur le sujet. Mais je me risque à donner quelques éléments qui ne seront, bien sûr, pas exhaustifs.
- à ma connaissance, il n'y a pas de moyen naturels de descendre l'hygrométrie d'un bois sous un certain seuil donné par l'humidité ambiante, relative ainsi que les saisons. Le séchage artificiel est donc nécessaire pour la fabrication de meubles destinés à l'intérieur.
- Il y a des règles à respecter et notament pour ne pas être trop brutal en température et en durée de séchage.
- Les défauts à proprement parler, sont par exemple le collapsus (petites fentes) sur toutes les surfaces du bois.
Certaines tensions, torsions sont susceptibles de se former. Avec pour conséquence un travail difficile du bois. Eclats, pincement de lame, etc...
je laisse les autres compléter ou corriger mon propos.
Merci Corps et Bois !
Mais justement, je ne le fais plus depuis des années et j'ai jamais eu de casse. D'ou ma question.
Est-ce un reflexe que nos anciens avaient du fait que les brasures n'étaient pas si performantes que maintenant?