bon ok, c'est une question en forme de retour d'expérience...
On a droit à la réponse en forme de retour d'expérience ? 
Pour moi c'est tout comme toi : j'ai eu plusieurs gabarits pour finir avec le Véritas qui est vraiment bien.
Mais au final c'est mieux sans.
Pas que l'affûtage soit plus réussi, non, mais c'est plus rapide, moins beau, moins régulier mais tout aussi efficace. Donc si on regarde le rapport temps passé / efficacité, il faut faire sans.
Surtout que le côté moins beau et moins régulier s'amenuise au fur et à mesure que l'on pratique.
PS : Je l'ai conservé car je peine quand même sur les lames étroites. Mais ça fait peut être pas loin de deux ans que j'ai arrêté de m'en servir.
Le déclic a été quand j'ai commencé à faire des stages dans des menuiseries. J'avais pas envie de passer pour un con avec mon gabarit. 
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Merci encore à tous pour vos réponses, vos commentaires et les discussions qui en ont suivi.
J'ai eu à nouveau des tenons un peu longs à faire, et surtout sur 3 traverses de dimensions strictement identiques. C'était donc l'occasion de remonter les disques à tenonner et le chariot à tenonner.
Vous avez lu entre les lignes que quand je peux faire autrement, je fais autrement (et pas que des dominos ^^).
Donc merci parce que j'ai réglé ma tenonneuse en 1 fois ! 
Evidemment je n'ai rien inventé, tout viens de ce qu'on m'a dit plus haut.
Voici les étapes utilisées :
- mortaises à la mortaiseuse à chaîne
- rabotage d'une chute pour rentrer pile dans les mortaises
- réglage de la tenonneuse à 0
- repérage des bagues et mise de côté pour utilisation future
- repérage de l'épaisseur du faux tenon au toucher avec les bagues sur la table de la toupie
- là aussi repérage des bagues et mise de côté pour utilisation future
- usinage du tenon sur pièce d'essai
- réglage de la hauteur
- et après c'est encore plus classique :
- réglage et usinage pare éclat
- usinage premier tenon (tracé)
- usinage deuxième about (tracé) et réglage butée du chariot à tenonner
- usinage en série des autres tenons
En images, ça donne ça :
Bonsoir Nekoswoodshop,
Déjà on croise les doigts pour la semaine prochaine, même si je ne suis pas trop inquiet. 
Aucun diplôme n'est requis pour s'installer comme ébéniste, donc tu peux le faire autant avec un CAP Boulanger qu'un CAP Menuisier. Le CAP Menuisier étant tout de même plus utile même si les métiers sont différents.
A l'inverse, pour s'installer comme menuisier, il faut un diplôme.
A toi de voir comment tu veux communiquer, la menuiserie me semble plus large que l'ébénisterie, même en excluant le bâtiment. Tu peux être :
- ébéniste (tout court)
- menuisier - ébéniste
- ébéniste agenceur
- menuisier fabricant en meubles
- etc...
Perso, je suis installé depuis le début de l'année et j'ai fait ou je vais faire :
- des meubles (tv, pour platine, vinyle, de salle de bains)
- de l'agencement (penderies / dressing)
- du mobilier de jardin
- un puits
- des portes (intérieures et extérieures)
- un portail
- un claustra extérieur
- un escalier sur caissons
- un meuble wc
- plein de petites choses : des barrières, un solitaire, des marches d'escalier, des plinthes, des réparations diverses
- ...
Ce qui me plait, c'est que c'est super varié.
A toi de voir ce qui te correspond en fonction de ce que tu aimes, de ce que tu sais faire (ou pense pouvoir faire) et de ton matériel.
Depuis février dernier, j'ai du Makita, acheté 400 €uros.
Jusque là on est dans les clous.
Il s'agit du combo pack DLX2145TJ (fixami.fr/maki...ans-makpac.html) qui comprend une perceuse visseuse à percussion DHP458 et une visseuse à chocs DTD152. Avec sont fournies 2 batteries 5Ah de 18 v et le chargeur.
La visseuse à choc chauffe mais c'est peut être normal, je n'en sais rien. En tout cas, elle fonctionne bien, je n'ai rien à lui reprocher. J'en suis fan parce que c'est léger, ça foire ni les vis ni les embouts.
La perceuse visseuse à percussion est bien plus lourde (plus lourde aussi que ma perceuse visseuse sans percussion metabo précédente). Pour du vissage répétitif c'est un peu lourd. Mais c'est puissant, elle n'a jamais calé. Le mandrin se desserre parfois mais ce n'est pas souvent et il n'accepte les forêts qu'à partir de 3 mm (peut être 2.5 mm, en dessous, il ne serre pas). C'est un détail mais parfois ça peut être utile. Je n'ai essayé jamais essayé la percussion. Par contre, ce que je trouve dommage, c'est le placement de la led. Elle n'éclaire pas la zone percée ou vissée mais juste en dessous.
Avec j'ai pris une lampe et une batterie supplémentaire de 3Ah, en 18 v toujours. Mais ça fait grimper la note.
Voilà, c'est modeste comme retour, mais ça pourra peut être t'éclairer.
Bonsoir,
Oui je suis sur Instagram mais non ça ne m'apporte rien.
Il faut dire que je m'investit peu : je fais juste des publications jumelées avec FB, c'est pratique pour ça.
Mais il faut dire aussi que je m'en sers mal vu que je ne mets jamais de hashtags. J'aurai donc appris ça avec les autres réponses.
Un point par contre que je voulais partager. Sur FB, tu as des invitations inappropriées qui peuvent arriver et soit ça passe dans les spams, soit on reste libre d'accepter ou refuser.
Sur Insta, n'importe qui s'abonne à ton compte et du coup il y a quelques demandes inappropriées, surtout au début. Après ça se calme.
Ca m'est encore arrivé ce matin. Et j'ai trouvé une parade assez efficace.
En effet, c'est difficile d'envoyer chier des gens sans savoir si c'est une future cliente ou non.
Voici ce que ça donne. (à la fin soit il n'y a pas de réponse, soit un refus clair et net, ce matin, c'était un "non pas du tout !" et fin de la conversation.
Bonsoir Olivier,
Avoir des projets, c'est génial. En général. Et quand en plus ce sont des projets assez précis avec des motivations précises et qui me semblent cohérentes, c'est encore mieux.
J'aimerais donc avoir votre avis sur le parcours que j'envisage ainsi que sur mes forces et mes faiblesses.
Côté forces, il y en a pas mal :
- tu sais à quoi t'attendre vu que ton épouse a suivi un parcours similaire
- l'activité de ton épouse est complémentaire (et vice versa)
- tu sais ce que tu vas perdre et ce que tu vas gagner (argent, temps, motivation, plaisir de faire soi même etc)
- tu vas bosser dans un endroit où tu ne seras pas anonyme (le bonheur est dans le pré !)
- ton parcours est planifié, avec encore quelques incertitudes mais c'est bien préparé (attention toutefois, dans mon cas, rien ne s'est passé comme prévu)
- tu es motivé
Côté faiblesse, je n'en vois qu'une :
Un manque que je vois dans ce plan est l'expérience acquise auprès d'autres professionnels, durant toutes mes expériences je n'ai jamais autant évolué qu'en effectuant des chantiers et en côtoyant les intervenants. Je ne me vois pas faire des stages à proprement parler, mais j'aimerais beaucoup effectuer des immersions, côtoyer d'autres menuisier/ébénistes afin d'évoluer rapidement.
Si je pouvais me permettre un conseil, ben si il faut faire des stages, le plus possible. Tu ne pourras pas faire d'immersion. Ce n'est pas un statut, tu n'es pas couvert par les assurances, etc etc. Soit c'est un emploi, soit c'est une formation, soit c'est un stage (et encore là aussi il faut déterminer le statut). Du coup, en terme de formation, je te dirai de choisir la formation la plus dense possible : celle où tu apprendras le plus en interne mais également celle qui permet de sortir le plus possible en entreprise. Et si possible, il faut varier les entreprises (tous mes stages ont été faits dans des entreprises différentes au grand dam de la dame du greta qui me suivait -même le dernier stage qui n'a pas eu lieu pour cause de covid). Et en temps qu'inscrit à Pôle Emploi, j'ai fait tous les stages possibles jusqu'à ce qu'on me dise que je poussais le bouchon un peut trop loin (Maurice est mon 3ème prénom). En parallèle une grosse dose de travail personnel et tu iras loin.
Ceci dit une période salariée avant de monter ta boîte ne serait pas inutile non plus. Mais c'est une question de choix.
Côté travail personnel, je me permets encore un conseil : l'air du bois !
Fouille le site à la recherche de ce qui t'intéresse et étudie comment c'est fait. Abonne toi à ceux qui ont posté ces créations -suivant tes envies- pose des questions, même sur des vieux sujets ou envoie des MP (je l'ai beaucoup fait et on a très souvent des réponses et en plus courtoises, et en plus bourrées de connaissances). Un peu de lecture perso à côté (on a aussi une bibliothèque) et à la fin tu aras passé 2 ans qui en valent 4 ou 5.
Je ne te souhaite ni bonne ni bon courage mais une bonne continuation.
Seb
Ce ne sont pas des tâches, ce sont des traces de brûlures, à la scie circulaire pour la plupart. Cela veut tout simplement dire que les chants n'ont pas été poncés.
Soit, il va y avoir d'autres usinages ou un ponçage et donc ce n'est pas très grave. Soit le meuble est fini est dans ce cas là, je trouve ça inadmissible de livrer ça comme ça. Perso, je ne travaille pas de manière parfaite mais au moins je ponce les chants.
Le tout va être repeint à la suite ?
Quel est le design recherché ?
On dirait une porte de cave mais ils peuvent avoir envie de la laisser dans son jus ou à l'inverse de faire du moderne.
Le ravancement du cadre provient du fait que la feuillure n'est pas prolongée en partie haute. Ca doit être possible de la prolonger à la défonceuse mais il faudra finir à la main car tu ne pourra pas arriver tout en haut. A moins de laisser un genre de traverse haute, qui sera nécessaire car la poutre empêche l'ouverture sur toute la hauteur.
L'autre solution, c'est de combler la feuillure en partie basse.
Dans ce cas, il serait possible de rajouter une pièce à l'arrière qui déborderait et ferait comme une feuillure mais d'assemblage au lieu d'usinage. L'inconvénient est de réduire le passage.
Sinon, tu disais aussi que la feuillure n'est pas très profonde, pour mettre une porte un temps soit peu épaisse, il suffit d'usiner une feuilklure aussi sur la porte en contre parement. Il faut prévoir les jeux nécessaires mais ça marche. Et ça rajoute un peu (l'air passe dessous de toutes façons) d'étanchéité, ce qui peut être bien pour une porte de cave.
Mais dans tous les cas, c'est un chantier sympa. Il y a plein de solutions mais qui dépendent aussi du résultat attendu. Suivant ces souhaits, il peut être envisageable de récupérer la partie haute pour l'intégrer au projet.
Pour celle de gauche, ce n'est pas grave si la porte peut s'ouvrir à 90 ou 110 ], si ?
Par contre pour celle de droite, il y a bien des limiteurs d'angle d'ouverture mais apparemment ils descendent à 85 ° mini : legallais.com/...brand[]=HETTICH
Je réglerais le problème en rajoutant un fileur ou un cadre ce qui permet de déporter légèrement la porte de droite vers la gauche et donc d'augmenter l'angle d'ouverture.
Tu as cette fraise pour faire des gorges : cmtutensili.ru...ur-profil-gorge
Tu peux faire la baguette correspondante avec une fraise quart de rond du même rayon.
Le hic c'est que la fraise à gorge à un diamètre supérieur à tes planches. Pour la solidité de ton assemblage, ce serait mieux qu'il y ait un carré, je pense, ce qui nécessite un diamètre plus petit.
Ceci dit je ne vois pas pourquoi d'autres entures seraient moins étanches.
Bonne chance.
Ca peut venir aussi de ta planche qui bouge une fois sciée : soit qui se tortille, soit qui se resserre sur la lame. Est ce que cette scie a une couteau diviseur ?
Il faudrait essayer de bien bloquer la planche des 2 côtés de la coupe pour qu'elle reste plane et rajouter un coin une fois la coupe amorcée pour maintenir l'écartement.
Si rien en change, ça ne vient pas de là.
(je pense plus à la planche qui se vrille, le bois de palette, sauf exception n'étant pas un bois bien dur.