Est ce que ceci pourrait aller ? scellit.com/fr...-de-platre.html
Ce n'est pas exactement le même profil.
Je vais répondre à côté, plus sur l'utilité que peut avoir la marche arrière sur l'entraineur :
- passer ses pièces d'essai : on usine à peine et on ressort en marche arrière pour contrôler les réglages
- usiner avec l'outil dessous : j'ai un porte outil rotoprofil et dernièrement ej voulais faire un usinage qui nécessitait d'usiner par dessus et sur un usinage que je ne sentais pas trop à cause d'une surface de référence pas suffisante). J'ai retourné l'outil pour usiner par dessous, puis j'ai inversé le sens de rotation de la toupie (grâce à une mini rallonge qui inverse les phases adéquates) et j'ai utilisé la marche arrière de l'entraineur mais pour usiner en sens inverse de la normale mais en restant en opposition
- usiner derrière l'arbre tout en restant en opposition
Il y a certes des choses dangereuses qui peuvent être faites avec une toupie mais toutes ces fonctionnalités permettent aussi de modifier la façon d'usiner de manière à être en sécurité.
Je perds sûrement du temps, mais j'utilise l'entraineur à au moins 80 % du temps. Par contre on y gagne en régularité et en précision. En tout cas à mon niveau.
Il existe quelques règles...
Mais s'il est utile de les connaître, il est primordial de suivre le raisonnement de philbois et de voir ce qui est faisable en fonction de la quincaillerie et ton matériel.
De ce que j'en sais, la FFB, c'est plutôt les grosses boites et la CAPEB les plus petites. Il y a la CMA aussi, ils se font concurrence sur certains points.
JE ne sais pas si tu étais installé au moment des dernières élections à la CMA mais la plupart du temps, il y avait 2 listes :
- la liste "Fiers d'être artisans" sponsorisée par CPME, le CNEC, le CNPA, la FEP, la FFB, la FFIE et l’UMIH
- la liste "La voix des artisans" sponsorisée par L’U2P et ses organisations membres, CAPEB, CGAD, CNAMS, CNATP,
Ils ont tous des sites internet, regarde les candidats de chaque liste, leur professions de foi etc.
AMHA, au niveau local, c'est plus la personnalité des interlocuteurs et des membres qui importe.
La finition utilisée va déjà changer le rendu. A part faire des essais je ne vois pas d'autre solution.
Je commencerais pas un essai de finition sans rien d'autre mais en respectant el protocole (ponçage jusqu'au grain final et finition en nombre de couches requises). Avec un peu de chance ça peut déjà aller dans le bon sens.
Si ça ne suffit pas, et suivant la finition tu peux essayer de :
- teinter avant finition
- teinter la finition
- éclaircir le plus foncé
- mettre une nuance plus foncée sur le plus clair, ou sur les deux
et sûrement encore d'autres possibilités que je n'imagine pas.
bonne soirée à toi.
Seb
Ca me fait penser à des chevalets d'instrument du quatuor (de l'alto à la grand mère).
Mais ça ne doit pas être ça, à cause du décroché d'un coté et du double pont de l'autre (à retourner d'un quart de tour pour se rendre compte).
Sinon, je pensais à rien, comme kaj, c'était juste pour faire avancer le chmililblicmilcik
Salut !
Au niveau de la formation oui car à ce que j'ai vu, je passerais plus de temps en entreprise qu'à l'école. Près à déménager définitivement dans une autre région c'est prévu, mais pas pour tout de suite.
Je suis entrain de lire ton journal de bord d'ailleurs et j'apprends beaucoup, merci beaucoup pour ton témoignage.
Avez-vous des formations de qualité à me conseiller autre que les compagnons si à tout hasard je ne suis pas pris ? Peut-être même aussi des entreprises qui sont intéressantes sur le plan du travail du bois ? Ou même des conseils à me donner dans ma recherche d'entreprise pour l'alternance ?
Du coup, voici ce que je peux en dire. Chaque cas étant particulier, ce ne seront pas vraiment des conseils mais quelques remarques.
le lieu géographique à son importance, il y a des régions où il y a pas mal d'entreprises qui travaillent le bois, d'autres où le tissus est moins riche. Ca dépend aussi de ce que tu recherches : travailler le massif, le traditionnel ? le moderne, les MH, de l'agencement ?
Le métier est très très vaste (regarde -un peu- les créations que j'ai postées mais surtout les questions que j'ai posées), on n'a pas fini d'en faire le tour. Suivant le ou les lieux que tu vises ou pour lesquels tu as une affinités, et suivant ton domaine de prédilection, on pourra te conseiller des entreprises à aller voir. Certaines embauchent, d'autres non, on ne le sait pas mais ça te fera un petit réseau et tu auras des infos.demande leur où ils prennent leurs apprentis, quelles sont les meilleures écoles dans la région : l'Association Ouvrière forme très bien mais n'est pas la seule dans ce cas et ne forme pas forcément mieux que les autres. Tu peux tomber sur un formateur Compagnon à l'AFPA voisine ou au CFA. Le principal frein que j'ai eu, c'est qu'à l'AOCDTF, la formation est obligatoirement par alternance et je n'ai pas trouvé de patron. Le lycée pro m'a permis de me former en restant sous statut Pôle Emploi. Mais il faut de toutes façons chercher un patron d'abord. Et si jamais tu trouves, c'est tout bénef !!
tu as la formation, c'est à dire le lieu et la spécialité. Ne te cantonne pas forcément au CAP. Ca dépend de ton niveau mais le Bac Pro est tout à fait accessible en 1 an. Ca m'a été refusé mais au bout de 3 semaines un prof me disait "c'est dommage qu'on fasse pas le bac pro". J'ai fait des exercices niveau bac pro lors de ma formation mais je n'ai pas le diplôme. Je précise pour ceux qui pourraient être choqués de tant d'imodestie : le bac pro est devenu accessible car le niveau de ce qu'on y demande a fortement baissé. Je pense (sans avoir d'éléments pour l'étayer de manière concrète) qu'un bac pro de 2020 ne vaut pas un cAP des années 70.
si au niveau géographique tu es vraiment libre et si tu es intéressé par le bon vieux tradi ou le MH, j'ai quelques adresses en stock de gars assez pointus qui postent de très belles choses sur les réseaux sociaux. Il y a aussi bien sûr l'annuaire de l'ADB, clique sur "carte" en haut à droite et va voir la zone qui t'intéresse. lairdubois.fr/boiseux
Je te souhaite une bonne réussite.
Seb
J'ai pris une Bahco, ce modèle, mais pas sur ce site : fr.rs-online.c...s&gclsrc=ds
En fait, à chaque fois que je commandais quelque part, je regardait s'il y avait une équerre à combinaison. Et à force de patience, j'ai trouvé celle là. La marque m'inspirait confiance et je n'ai pas été déçu.
J'ai pris une grande équerre de menuisier en même temps.
On reste sur du très basique mais elle est juste.
Je l'ai aussi et je n'ai pas trouvé les mêmes inconvénients que toi.
Elle n'est pas parfaite mais moi je suis passé d'une machine de base rebadgée de chez otelo à ça.
Par contre, comme cocoM quand j'utilise la poignée rotative je ne bloque jamais le levier que ce soit à la volée ou sous table. Par contre, quand je plonge, soit je la mets en position classique, soit je descends petit à petit avec la poignée rotative et je fini en "forçant sur la butée".
Au niveau de la prise en main, comme pour le reste, je pense qu'on s'y fait aussi. Par contre, quand elle est bien stable et en position bloquée (descente classique donc), je la pousse souvent par la base.
Quant à l'interrupteur, j'y arrive bien mais ça doit aussi être une question d'habitude, ça fait quelques années que je l'ai.
Le guide parallèle est très pénible à régler oui, mais après il tient bien. Par contre, les 2 côtés sont un peu trop écartés. J'ai acheté le système de guidage pour rail, c'est pas mal du tout même si ce n'est pas la même chose évidemment. La plaque me sert souvent aussi. Par contre elle a un peu de souplesse et les rainures font des marques à l'usinage, il faut rajouter une semelle fine dessous.
Autre défaut : le carter de protection gène à la descente. Je l'ai donc démonté. Le bon point, c'est qu'on peut conserver l'aspiration quand même.
Elle plonge très bas, c'est très cool. Mais j'ai flambé plusieurs bagues de copiage comme ça.
Les prix actuels font que beaucoup de choses redeviennent rentables en massif. Par exemple, je trouve les lames à volets en épicéa très chères et j'arrive à concurrencer ça en volet traditionnel en chêne pour un prix à peine supérieur à cause de la finition.
Pour ton chantier, comme tu l'a dis toi même je pense que c'est l'échelle qui fait que ça devient impossible. Mais ça pourrait être rentable oui.
Bonjour tab999 et merci de poser cette question qui résonne fort en moi.
Je suis très attaché à la préservation du bâti ancien et c'est un sujet que j'ai pas mal potassé pour faire quelques devis, même si pour l'instant je n'ai pas eu l'occasion de mettre tout ça en pratique.
Grosso modo, il existe 3 solutions pour améliorer l'efficacité thermique d'une fenêtre :
1- la changer, soit avec une pose en neuf, soit une pose en rénovation
2- poser une double fenêtre, c'est à dire on conserve la fenêtre existante et on rajoute une seconde fenêtre à l'intérieur du tableau. En règle générale, cela n'est possible que si le tableau est important (bâtiment ancien avec murs épais) avec un ébrasement qui s'ouvre suffisamment pour permettre les ouvertures des 2 fenêtres, l'une dans l'autre. Cela peut se pratiquer également lorsqu'on rajoute une couche d'isolant (plutôt à l'intérieur car quand c'est à l'extérieur, le bâtiment n'a en règle générale pas de valeur patrimoniale).
3- intervenir sur la menuiserie existante. Il faut établir un diagnostic de manière à déterminer l'état de la fenêtre et changer ce qui doit l'être (traverse basse, jet d'eau, etc) si nécessaire. Il faut également établir si la menuiserie est apte à recevoir un surpoids et / ou une sur épaisseur.
Le double vitrage est plus lourd et plus épais. En fonction des possibilités admises par la menuiserie, il faudra dimensionner la sur épaisseur et le poids : les paumelles peuvent elles résister, le cadre et les scellements résisteront ils également au surpoids ?
Si on agrandit la feuillure, reste t-il suffisamment de matière pour conserver une solidité et une stabilité suffisantes ? Si l'agrandissement de la feuillure à verre n'est pas possible, est il envisageable de rajouter une surépaisseur avec des parcloses en forme de cornière ? Ou alors faut il s'orienter vers un survitrage ?
Il existe des double vitrages minces et également des simples vitrages thermiques (plus chers que des doubles vitrages par contre). Leurs performances sont moindres qu'un 4/16/4 mais ils offrent un confort supplémentaire indéniable en supprimant l'effet de paroi froide lié au simple vitrage. Il existe des vitrages imitant le verre soufflé ancien. Les miroirs à glace actuels (floating glass) on une planéité parfaite qui jure surent sur une façade. A un moment donné il faut aussi accepter certains compromis, ou pas. Je ne sais pas si les les imitations existent en double vitrage.
Mais changer le vitrage n'est pas suffisant, il faut également s'attaquer à l'étanchéité de la menuiserie. Mais attention, le bâti ancien n'est pas une boite étanche comme les maisons d'aujourd'hui, et il ne faut pas tomber dans l'excès inverse afin de conserver les échanges hygrométriques propres au bâti ancien. Ce qui est important, c'est d'améliorer le confort, et si possible la facture de chauffage. S'il y a d'autres entrées d'air, il est possible de refaire l'étanchéité dormant / murs avec des matériaux adaptés, le plus souvent à base de chaux, et sans ciment pour éviter d'encapsuler l'humidité dans les murs. Il y a ensuite la possibilité de rajouter des joints périphériques entre l'ouvrant et le dormant. Des solutions existent pour tous les types de fenêtre, avec des possibilités plus ou moins étendues.
On part du joint mousse autocollant, facile à positionner, efficace mais peu durable jusqu'aux joints nouveaux rapportés dans des rainures pratiquées à cet effet en passant pas les joints moulés à base de produits siliconés. Le grand principe dans l'apport de joints, c'est la continuité du joint sur le pourtour de la fenêtre. C'est à dire que l'idéal est de rajouter un joint au même endroit en faisant tout le tour de la menuiserie. En pratique, cela peut être fait en passant tantôt sur l'ouvrant, tantôt sue le dormant mais surtout sans jamais rajouter de sur épaisseur afin de ne pas tordre la menuiserie et entraîner un passage d'air. Je ne sais pas si c'est très clair mais c'est quelque chose que je vois souvent quand j'interviens sur des portes d'entrées.
La menuiserie ancienne ne sera jamais aussi étanche qu'une menuiserie neuve. Mais ce n'est pas grave : les échanges thermiques se font beaucoup plus par rayonnement que par changement de l'air. D'ailleurs c'est pour cela qu'on perce les menuiseries neuves d'entrées d'air. Ce qu'il faut éviter c'est le flux d'air froid direct qui , comme l'effet paroi froide, est très désagréable.
Pour conclure, c'est un très beau projet et je trouve ça très bien de s'intéresser à ces sujets.
Voici quelques sources (parmi d'autres sur lesquelles je suis tombé au fil de mes recherches) :
Un organisme qui vaut le détour :
Une étude un peu généraliste : tribu-energie....NRABF-7-37.html
Des trouvailles sur la préservation des menuiseries anciennes (Poitiers et Toulouse) :
Mais depuis je suis tombé sur un document du même type sur la menuiserie parisienne, ce qui te correspondra mieux :
effinergie.org...75_2_191009.pdf
Mais aussi dans les Pays de la Loire : fr.calameo.com...afce9d48?page=1
A Lyon : lyon.fr/sites/...nt-fenetres.pdf
Il y a aussi Maisons Paysannes de France :
avec certains articles disponibles dans la section documentation
et d'autres sur la partie "wiki" avec un lien notamment vers l'Atheba (Amélioration Thermique du Bâti Ancien) qui est un programme très intéressant et qui fourni des fiches très intéressantes (j'aurais pu publier une trouvaille sur ce sujet d'ailleurs). wiki.maisons-p..._du_bâti_ancien
Sur la pose de joints, j'ai trouvé peu de ressources. Mais il faut noter cette étude publiée par kaj sur le calfeutrement (c'est le mot clé à utiliser dans les recherches).
Enfin il y a le site de Xylonis, qui est une société belge qui intervient dans ce genre d'opération. Sans faire de publicité, ils ont des fiches intéressantes sur leur site internet.
J'utilise les fers Tersa. Pas par conviction mais parce que la rabot dégau que j'ai trouvée en était équipée.
Je suis partagé : le système est bien, c'est pratique, précis, rapide, ils ont une gamme de fers assez large.
Par contre, c'est plus cher mais l'affûtage tiens plutôt bien.
Je ne suis pas fan du jetable en général, ni des systèmes propriétaires. Je crois que pour l'instant seul Tersa fabrique les fers Tersa.
Question écologique, les fers teras sont tout petits, il y a donc moins d'acier que dans un fer normal. Ca reste toutefois du gaspillage.
L'intérêt que j'y vois et l'utilité que j'en ai, c'est que j'ai gardé des vieux fers pour les bois à risques. Bon, la raboteuse peine plus et le résultat est moins bon mais ça permet de ne pas bousiller des fers en bon état.
A choisir, je crois que je prendrai autre chose (mais le matériel était rare par chez moi) mais ça ne me pousse pas non plus à vouloir changer la machine rapidement pour cette raison.
Depuis 1 an, j'en suis encore à mon premier jeu de fers qui ne vas peut être pas tarder à passer l'arme à gauche.
Sinon mon affûteur vient me voir tous les 15 jours.
Et j'ai moi, quand il y a 15 km à faire, ben ça prend 15 minutes.
Je ne connais pas le primaire que tu montres.
Pour des finitions peintes, j'utilise actuellement celui de Leroy Merlin (Luxens : leroymerlin.fr...s&gclsrc=ds).
Je m'en sers assez peu et c'est encore le premier pot que j'ai acheté. Depuis j'en ai trouvé chez Foussier mais pas encore essayé.
Pour les finitions transparentes, j'utilise le xyloprim de Blanchon.
Il accepte les peintures mais je n'ai pas essayé. Surtout que ça ne me parait pas très productif de passer un primaire transparent pour peindre derrière. Même si j'ai bossé dans une boite qui passait d'abord les menuiseries dans un bain d'anti tannin, avant de passer un apprêt. La peinture finale était une option souvent non prise (travail en sous traitance).
A la grosse louche, c'est 1 cm par an. Ce chiffre est faux ou du moins pas assez précis, ça dépend de l'essence, de la période d'abatage, de l'épaisseur de sciage et de l'âge du capitaine. Donc ça donne une petite idée.
Si ton bois est scié en 27, il faut presqu'1 an et demi suivant cette méthode peu précise.
Si c'est plus épais, c'est plus long.
Mais comme dit, il faudrait vérifier le taux d'humidité pour en avoir le cœur net.
Par chez moi, une scierie propose de passer les bois au séchoir, c'est peut être une solution que tu peux trouver aussi vers chez toi.