

Moi aussi, j'ai réfléchi
Et je suis parti sur le principe de la géométrie descriptive.
Je me suis dit on voit une élévation avec 2 droites et un point qui sont sur un même plan.
Donc ça se projette sur un plan, que j'ai pris parallèle à la ligne d'horizon. On imagine qu'on met le dessin au mur quoi.
Ensuite on virtuellement changer de plan en faisant tourner le plan autour d'une verticale.
J'ai tracé une Verticale qui coupe les droites d et d' en A et B en passant par le point M.
Le bord de feuille coupe les droites d et d' en C et D.
Tout se petit monde se projette en plan sur une droite et les points A'B'et M' sont confondus, tout comme les points C'et D'.
L'axe de rotation se situe entre ces deux séries de points sur la projection en plan.
En plan, on obtient les points rouges A", B" et M" ainsi que C" et D".
En élévation, ces points se projettent en A''' B''' et M''' d'un côté puis C''' et D''' d'un autre côté.
On rejoint A''' et C''' ainsi que B''' et D''' qui sont les projections verticales des droites d et d' sur le nouveau plan.
La méthode marche, le point d'intersection des droites rentre dans la feuille. Cela nous donne... le point Q !
On rejoint M''' et Q ce qui est ce qu'on recherche. (c'est là que j'ai fait une erreur de tracé, arrivé là, je n'ai pas tout recommencé)
Cette droite coupe la verticale C''' D''' en G !
On projette le point G c) sur le premier plan de référence.
Ce qui nous donne le point où la droite M / intersection des droites va couper le bord de feuille.
Le compte est bon !!!

Tu as 3 solutions :
- tenons inclinés et mortaises droites
- tenons droits et mortaises inclinées
- montants en trapèze : tenons et mortaises droits
Pour mesurer l'inclinaison en elle même, 6LV1 a tout dit (et je plussoie Oak, je ferai une épure dans ce cas là, à minima de l'assemblage mais plus vraisemblablement de l'assise entière).

J'ai fait une planche presque similaire. Mais en hêtre.
En fait, la planche d'origine était tuilée. Pour garder de l'épaisseur, j'ai gardé le côté concave et raboté le côté convexe pour avoir un plat.
Par contre, j'ai quand même travaillé le coté concave pour que les chants soit paralléles et qu'elle soit stable.
Ça fait un peu comme des poignées en fait. Et tu peux accentuer ça en creusant des poignées sur le dessous. En retournant ta planche donc.
Qui ne sera plus réversible.

Alors avant : j'avais un guide véritas, des pierres japonaises, un touret lent (style tormek) etc...
Je les ai toujorus mais j'essaie de plus de faire comme suit :
A la main :
- pierre diamant 400 puis 1000
- pierre fine de menuisier trouvé en brocante (ton grand père en avait forcément une aussi)
- cuir avec pâte d'affilage
Si le ciseau est vraiment ébréché, j'ai cacheté des "pierres" diamantées 200, 300, 400 et 600 de ce style : leman-sa.fr/fr...&results=21
Ça suffit largement. Et c'est pas cher.
Je peine encore sur les ciseaux fins, c'est plus facile sur les large.
Du coup, comme c'est plus simple, j'affûte plus souvent. C'est super important.
Avant c'était fastidieux du coup, je n’affûtais pas assez.
Je précise ça car tu dis que certains sont très bien affûtés. Sûrement, mais il faudra les reprendre très vite si tu t'en sers.
En tout cas, très belle collection , tu vas te faire plaisir.

Tout m'ira bien. tant que tu ne déplaces pas toutes les icônes on s'y retrouvera.
Mais puisque tu le demande... l’œuf, je suis pas super fan. Même si la symbolique est bonne.
Le castor est plus un animal bâtisseur que la poule. (L'arraignée aussi bâti mais pas en bois, les oiseaux batissent également ainsi que les termites ou les founisseurs).
La main serait aussi un emblème qui me plairait mais trop connoté travail manuel.
Du coup un cerveau serait peut être pas idiot : il symbolise l'idée, fait un pied de nez à l'opposition manuel / intellectuel et en plus tout le monde en a un. Si en plus, ça incite tout le monde à s'en servir, ce ne peut être que bénéfique. Et ça augmentera la communauté des boiseux vus qu'ils sont tous intelligents !
Le phénix serait un clin d'oeil à l'ancien logo.
Bref c'était une réflexion à haute voix, si si !
La bise à plus.

Parfois un simple arrêt en poussant suffit (un des taquets dont tu parles) ou une griffe (mais je n'ai jamais essayé -sauf si on tient compte de la pioche que j'avais utilisé une fois-).
Quand ça ne suffit pas, je bloque une mince planche de bois (plus mince que celle que je rabote) à l'arrière que je serre avec un serre joint déporté qui ne gène pas (il faut une planche suffisamment longue pour cela).
Si la pièce n'est pas trop longue on peu la bloquer dans la presse également.
Les serres joints plats type à glisser dans les rails peuvent parfois être utiles mais pas toujours.
Enfin, si tout ça ne marche pas. Je maintiens avec un serre joint et rabote en plusieurs endroits en déplaçant le serre joint.
bref, ton problème est récurrent et la solution unique n'existe pas.

Ta démarche est la bonne.
Tu as déjà essayé de travailler en tenant compte de ces contraintes. Ça n'a pas marché mais l'intention était là.
Autre piste :
- ton bois s'est rétracté mais comme il tenanit aux tasseaux dont le fil ssemble croisé, ils n'ont pu se rétracter comme ils le voulaient et ont plié les tasseaux.
solution : ne pas croiser le fil, ou alors avec des trous oblongs, ou faire une rainure en queue d'aronde.

Alors pour couper proprement de l'OSB (tiens ça sent déjà la galère), il faut des fraises bien affûtées et très efficaces.
Perso, je ferais avec ce que j'ai mais si je devais en acheter exprès, ce serait bien l'occasion d'essayer les fraises hélicoïdales car on en dit le plus grand bien.
Je ferais en 2 passes en prenant une fraise de diamètre supérieur à la moitié de ta rainure.