Déjà, c'est Bailleul. Il a un E à son prénom, ou plutôt 3 car il s'agit d'Etienne.
Ensuite, un petit indice... où range t-on un livre ?
- Dans une bibliothèque ?
Bien, comment sont classés les auteurs ?
- par ordre alphabétique ?
Et oui !!!
Tous les bouquins sont tops et César en a scanné quelques uns (ou plutôt rendons à dneis, ce qui est à dneis, c'est lui qui les as scannés).
Mais ce que tu cherches doit être précisément cette page là (et suivantes).
Le temps... ce n'est que de l'organisation.
On peut effectivement fabriquer un meuble rapidement en y mettant longtemps. Si je travaille 2 heures par semaine semaine sur un meuble, il faudra 6 semaines pour un meuble qui n'aura pris que 12 heures de travail. Il suffit de faire de faire un roulement. A l'époque en plus, tout se faisait en bois ou presque, il y avait toujours du travail. Il y avait des saisons à respecter aussi : peut être pour respecter le cycle naturel de l'arbre (abatage en sève descendante par exemple, donc en hiver) mais sûrement aussi parce qu'en été, ils avaient d'autres travaux -agricoles notamment- à accomplir.
Pour autant, je ne sais pas si c'est comme cela que les anciens pratiquaient. Mais je sais que je peux m'organiser pour le faire, ce n'est pas une contrainte pour moi. Si les clients font appel à moi c'est parce qu'ils savent que je ne suis pas une usine.
DewhitYoussef il y a un autre aspect. On a le rabotage facile maintenant. Avant ils faisaient tout à la main et ne rabotaient pas l'arrière des meubles. Nous n'avons pas la même pénibilité. Ils se concentraient sur ce qui se voyait.
La durabilité des meubles peut toutefois se mesurer aux inventaires après décès, on héritait des meubles de nos parents à ces époques. Cela n'arrivera pas avec des meubles Ikéa (sans parler du côté démodé ou pas).
Si Roubo parlait de non durable à son époque, il parlerait carrément de jetable à la notre. (AMHA)
DewhitYoussef je pense que la qualité de construction est le reflet exact de l'état d'esprit de notre société. Les 2 sont étroitement liés. Enfin, je pense.
benjams : non l'agglo n'est pas aussi durable que tu massif en tenon mortaise (à qualité de fabrication égale).
Aaaaah les tenons du vendredi après midi
DewhitYoussef l'époque est vraiment corrompue par une recherche exacerbée de la rentabilité. Les industriels ont gagné, et il n'y a plus beaucoup de petits commerces et de petits ateliers pour faire contre pouvoir.
Par contre, nous consommateurs, avons aussi une énorme part de responsabilité dans tout cela.
Tous nos grands monuments ont été construits avec les restes d'anciens monuments, soit détruits auparavant, soit détruits pour l'occasion de la reconstruction. Donc oui, ce n'est pas nouveau, loin de là. et c'est une très bonne chose que l'on y revienne.
Merci Yvon Rolland de ta réponse.
Tu sembles donc dire que si on travaille du bois bien sec, il n'y a aucune autre précaution vraiment utile à prendre ?
Mais le bois bien sec n'est pas à 8 % d'humidité non plus si ?
Pourtant il faudrait pour du mobilier. Comment résoudre cette énigme ?
Yes !!! J'ai une pièce qui peut faire ça, j'ai un déshumidificateur et je peux me faire une pièce à 40 % d'humidité.
Vous maintenez les 450 % tout le temps ou vous faites baisser progressivement le taux pour en pas brusquer le bois ?
Merci de toutes ces précisions. J'y vois plus clair.
Effectivement le stockage dans le lieu final d'utilisation me parait difficilement faisable à titre pro. Même sans forcément avoir des contraintes de temps.
Je vais déjà m'acheter un hygromètre un peu plus fiable et surveiller tout ça.
Mon atelier est particulièrement humide mais je pense que c'est ponctuel. Là, j'ai entre 50 et 60 %, plus près des 50 % hier. Mais lorsque j'ai pris l'atelier, il était fermé, sans chauffage depuis 7 ans. Je l'ai pris le 15 janvier. Il gelait à l'intérieur de la vitrine (oui, j'ai une vitrine) et au moment du redoux, l'eau suintait des murs. Donc ej partais de loin. Mais je pense que c'est en train de se stabiliser. Ce qui ne m'empêche pas de faire attention (d'où ma question) car il n'y a pas d'isolation. L'hiver prochain, j'aurai du chauffage donc ce sera plus facile. On arrive dans une période qui va être plus simple à gérer aussi.
C'est tout le but de cette question et de ma démarche.
Comment fait on pour descendre le bois à 8 % dans un atelier à 50 % ?
mais je ne compte pas écrire un ouvrage sur le sujet
dommage
les gens lisent peu
certains lisent beaucoup
sont toujours persuader de tout savoir
ou alors ils posent des questions
Mais c'est intéressant ça. C'est vrai que comme dit par benjams (je crois) on a un biais sur les ouvrages anciens car on ne voit que ceux qui ont pu subsister, donc souvent les mieux faits. Même si je persiste à croire que nos anciens travaillaient avec un objectif de faire durer leurs ouvrages contrairement à la grande majorité des fabrications actuelles. Je ne dis pas qu'on travaillait mieux avant, on est capable de faire pareil mais l'objectif n'est plus le même.
Je vois ce que tu veux dire mais en hiver entre les périodes douces et humides et les périodes froides et sèches, mon atelier peut passer de 80 % d'humidité relative à 90 %.
J'ai fait des plateaux en hêtres, choisis sur quartier et avec les cœurs inversés. Non contraints, ils ont tous tuilés au moment où l'humidité est repartie à la hausse. Et pourtant j'ai attendu. Ils étaient toutefois posés sur épingles.
Je sais que le hêtre n'est pas un bois des plus stables mais quand même le tuilage était fort.
Avec mon humidimètre parkside (donc pas forcément fiable mais peut être que si), il n'y avait que 2 ou 3 % d'humidité d'écart entre les 2 faces.
Avec la fin des pluies et une remontée des températures, les plateaux sont presque revenus comme avant. Il y avait des flèches de 4 ou 5 mm sur 500 mm de long.
Sinon, ce ne sont pas des recettes tirées par les cheveux : en entreprise, on m'a fait contraindre du bois corroyé en fin d'après midi pour le retrouver droit le lendemain. Et il me semble qu'au moins les panneaux assemblés doivent être contraints si on ne les utilise pas immédiatement.
Il parait difficile de conseiller d'un côté de stocker le bois dans le lieu d'utilisation finale et de faire comme si de rien n'était lorsque ce n'est pas possible.
Il y a plus d'une vingtaine de panneaux posés les uns sur les autres sans précaution particulière.
Bon ça a tuilé dans la semaine du début avril au moment où il s'est remis à faire froid avec de la pluie après une semaine ou on a eu 25 degrés avec du soleil.
Oui ça fait beaucoup de tuilage, +/- 5 mm sur une 50aine de cm.
Oui je vois ce que tu veux dire, mais attendre ne veut pas dire ne rien faire. C'est prendre le roulement et organiser sa production entre les différents chantiers.
C'est le genre de choses qui passent inaperçues quand tu bosses dans un atelier. Le patron te dit aujourd'hui on fait ça et demain ce sera ça. L'activité n'est pas organisée de manière linéaire mais ça fait partie des choses dont je me rends compte maintenant et je n'en ai pas parlé avec eux au moment voulu.
Le bois aura toujours des mouvements et la contrainte peut être une solution (ou pas). mais au final, le bois est bien contraint dans l'ouvrage achevé.
Quand je faisais référence à acclimater le bois dans la pièce finale, c'était une reprise du conseil qui revient le plus souvent. Pour montrer l'écart entre le fait de ne rien faire non plus.
Mais comme le dit Etienne Desthuilliers, il n'y a pas de recette miracle (ce dont je me doute depuis le début) mais il doit y avoir des processus à suivre, pas forcément compatibles entre eux ou parfois inutiles voire contre productifs.
Sinon la solution est d'abandonner le massif et se mettre au cp (je deconne )
Non , c'est sérieux, il faut également savoir où placer les panneaux ou connaître les limites de la production en massif. On ne peut pas tout faire en bois massif. Certaines choses sont impossibles ou particulièrement risquées (pour la stabilité de l'ouvrage).
Ce serait extrémiste oui ! et surtout s'avouer trop vite vaincu.
Je viens de faire un plan avec un cadre en massif qui enserre des caissons en latté. On a des matériaux modernes (le latté n'est pas tout neuf non plus) et il faut les marier, la créativité est là je pense.
Bon si on peut éviter l'agglo, c'est mieux quand même (mais je vais en utiliser prochainement quand même).
Bonjour Bonbonveronbi, merci de ta réponse complète et pleine de bon sens.
Rien ne remplacera l'expérience, c'est sûr, mais partir sur des bonnes bases avec quelques règles simples me permettra de mieux observer le bois et d'en tirer plus vite des conclusions utiles.
Effectivement, on part de bois sec, mais avec une hygrométrie supérieure à l'atelier par rapport au lieu final d'utilisation.
Ok pour les premières phases, ça me va bien.
Pour la durée du ressuyage, il suffit que j'en tienne compte dans mon planning, je suis tout seul et j'ai de la place. Donc pas de contrainte qui l'empêchera. Il y a toujours quelque chose à faire de toutes façons.
Par contre, je comprends le stockage sur chant après corroyage même si je n'y avais pas pensé. Mais je ne vois comment tu couvres tes bois. Les largeurs ne sont pas toutes identiques, donc ça sera difficile avec du panneau. Une couverture ?
Enfin concernant l'établissement, je vois très bien ce que tu veux dire. Le sujet est très vaste et j'ai encore beaucoup à apprendre. Mais j'ai quelques notions qui me donnent les pistes de départ.
C'est étonnant parce que finalement ce sont les étapes les plus importantes (temps de repos et établissement) qui sont les moins étudiées en cours ou lorsqu'on va en stage. Je n'ai pas été assez curieux sur ces points.
Il faut dire que mon atelier est une ancienne maison fermée depuis 7 ans, non chauffée depuis ce temps là. Loin d'être étanche, elle n'est pas ventilée pour autant. Ca fait 3 mois que j'ai pris possession des lieux et l'hiver a effectivement été compliqué à gérer. Maintenant qu'il y a de la vie, de l'aération, ça commence à se stabiliser. Et l'hiver prochain, j'aurai du chauffage. Dans une partie du moins.
J'ai même la possibilité de me faire une pièce à hygrométrie constante (avec un déshumidificateur) et température à peu près constante (il fera plus chaux en été, forcément). Mais je ne sais pas si c'est utile.
C'est noté pour les battants sur tréteaux, justement je partais du principe de les mettre sur un panneau pour éviter qu'ils s'affaissent sous leur propre poids.
Du coup, tu les couvre comment les bois ? une couverture alors ?
Et au niveau dégauchissage, quelles précautions faut il prendre ?
En fait, on m'a appris (un ancien) à gagner du temps au dégauchissage en ne blanchissant qu'une surface suffisante pour avoir une surface de référence en rabotage, je fais comme ça depuis. On peine moins à raboter qu'à dégauchir. Une fois dégauchi, je rabote tout de suite si j'ai le temps. J'essaye d'enlever à peu près autant sur els deux faces mais ce n'est pas toujours évident, si des défauts sont plus présents d'un côté que de l'autre.
Ah oui la loupe, ça doit être chaud à travailler. Le reste doit sembler plus facile après ça !
Pour moi, mais je me trompe peut être, le ressuyage est le temps d'attente de stabilisation et de séchage du bois.
Celui que tu indiques mais tous les autres également.
En effet, un bois va prendre ou perdre de l'humidité d'abord par l'extérieur, il y a donc souvent une différence d'humidité entre l'intérieur et l'extérieur. Couper ou raboter va brutalement compromettre cet équilibre. Par exemple, si tu coupes une planche en 2, tu auras le côté de la coupe qui n'aura pas la même humidité que le chant extérieur de la planche.
J'appelle tout ça ressuyage, mais encore une fois, il y a peut être confusion de ma part.
Un exemple, par sylvainlefrancomtois dans uen réponse. Ce coup ci le ressuyage est entre le séchage et avant le débit (autre temps non précisé dans le processus plus haut).
glaude oui tu as raison, mais de mon point de vue le terme ressuyage correspond à tous les temps d'attente et de stabilisation des bois. On est vraiment sur de la terminologie.
On va voir si un consensus se détache sur ce point.
Je stocke mon bois à l'atelier, donc il y séjourne assez longtemps. A moi de prévoir les approvisionnements à temps.
+1 pour contraindre les panneaux, intuitivement, ça me convient très bien.
sciunto, oui c'est un peu la même définition que celle de glaude . Dite autrement. Je suis d'accord, mais selon moi, le terme n'est pas aussi restrictif et précis.
Niouniou Oui, je suis bien d'accord avec toi mais le assez longtemps faisait référence aux 2/3 semaines de glaude.
Perso, je n'ai pas un choix immense en scierie aux alentours de chez moi, je suis bien obligé de faire avec ce qu'il y a.
Celle où je me fournis principalement fini le séchage au séchoir après l'avoir commencé en séchage naturel.
Mais il n'empêche qu'on a eu de fortes variations d'hygrométrie ces dernières semaines.
J'ai fait exprès de me disqualifier, c'est pour pas foutre la honte à tout le monde lol
Enfin, pour la température, on a quand même le zéro absolu.
Si ça c'est pas de la super méga référence.
Ara on peut bien mesurer le temps qui passe.
Au lieu de mesurer la température, on n'a qu'à mesurer la chaleur.
quoi ? C'est tout ?
Il manque plein de trucs, on a juste effleuré le problème. Quid des solutions ?
Quel type de testeur d'humidité choisir ?
Comment s'en servir ?
Quelles méthodes de constructions ?
Comment fabriquer un meuble dans un atelier non chauffé sans possibilité de stocker le bois chez le client au préalable ?
etc...
Ne nous laisse pas au milieu du gué...
Sniff...
Oui, on en parle beaucoup mais l'information est diffuse, parsemée sur le site et donc difficile à retrouver et exploiter.
Il y a une autre solution : la collection et poser des questions visant à compléter ce qui manque ou pour compiler certaines infos ;-)
Merci Philippe, c'est intéressant de repréciser tout cela ici. Cela fait partie des informations que j'avais déjà.
Sauf une : mettre les aiguilles dans le sens du fil du bois, naturellement, je les mettais dans l'autre sens. Je vérifierai si la mesure change quelque chose.
Concernant, le dernier exemple, on peut même aller plus loin : un bois stocké 20 ans dans un endroit sec reprendra autant d'humidité en milieu humide qu'un bois sorti du séchoir la semaine dernière.
etiennedesthuilliers Il y a peut être une différence, ou des cas où il peut y avoir différence. Au niveau épaisseur de panneau, j'envisageais la même pour la comparaison.
PhilippeCichon : je n'avais pas vu le "perpendiculaire", mea culpa
J'envisage d'acquérir ce mesureur d'humidité :https://www.mesure-laser.com/appareils-de-mesure/45-mesureur-d-humidite-moisturefinder-compact-laserliner-4021563694457.html
benjams ah oui, peut être. Mais je me trompe peut être, mais je ne pense pas qu'un séchoir sèche "très fort", sinon, il y aurait des fentes et des gerces. Apparemment, l'art du séchage est difficile et subtil.
La scierie ou je prends mon bois le sèche à l'air un bon moment puis fini le séchage au séchoir, pour gagner un peu de temps.
Autant pour moi, j'étais parti sur un mélaminé décor chêne. De totues façons, si tu as un placage chêne, le support dessous à moins d'importance vu que le placage n'aimera pas l'eau non plus. C'est la finition qui le protègera.
Evidemment, les chants sont plus sensibles mais normalement le plan vasque le recouvre. Et effectivement, un bon joint de silicone assure autant le collage que l'étanchéité.
Merci de tout ça !
Je n'aurai bientôt plus besoin d'exporter les données dans excel vu qu'OCL fera tout !!
Blague à part on se rapproche de la réalité en fait.
Alors dans les fonctions qui me paraitraient utiles
(attention, je débarque avec mes gros sabots, et il s'agit sûrement de choses déjà discutées et peut être de choses qui existent déjà) :
- prendre des notes en face de chaque pièce (marquer les usinages à faire, ou un aspect précis dont il faut tenir compte)
- calcul de la surface finie pour le massif aussi (pour calculer la finition)
- la possibilité de rajouter des éléments en note (sans les modéliser), comme de la quincaillerie par exemple
J'avais pensé les tags sur les pièces pour ça.
Ah oui ? tiens, je vais vérifier si ça me convient dans la pratique
Et donc un calcul de surface bien plus ardu à détecter sans que ça dise n'importe quoi.
Je n'avais pas pensé à ça. Evidemment sur des projets dans lesquels on a le nez, c'est plus facile de visualiser. mais faire un programme universel, c'est moins évident, j'imagine.
Désolé, mais ça il n'y aura pas.
Au choix :
- réponse 1 : Même si on est 3 en moins de 15 minutes ???
- réponse 2 : c'est pas grave, c'était juste pour faire avancer le shimili le schibil, le shliblickmi...
- réponse 3 : du coup, je demande un autre truc ^^ : un lien avec les processus ?
- réponse 4 : il existe des banques d'accessoires mais je galère un peu encore avec ça, ça va viendre, comme le reste
re merci en tout cas !!
Non, parce que
J'aurai essayé !!
Genre pour importer les pièces dans les processus ?
Par exemple, mais je n'y ai pas réfléchi mais c'est la logique que je suis pour mes devis (en faisant un processus formel ou non). Mais à l'inverse, ça pourrait nous faire aussi une banque de tags à pour les pièces.
Il n'est pas nécessaire d'avoir des accessoires complètement fidèle a la réalité. D'ailleurs, plus il sont simplifiés, plus ça sera simple d'évoluer dans le modèle 3D.
Ah oui pas con, ce genre de conseil est toujours bon à prendre. J'ai déjà téléchargé le plugin de Vincent Simonnet, mais je n'ai pas encore trop regardé ce qu'il y avait dedans.
Je me permets d'intervenir car j'ai l'impression que la réponse ne correspond pas exactement à la question.
GregO : on rentrer n'importe quelle taille de panneau pour faire son calepinage. Ca m'a servi notamment pour faire différentes simulations (c'est par tâtonnement, il n'y a pas de possibilité de trouver le panneau idéal à partir d'un débit). Ces simulations m'ont permis de dire au marchant de panneau où il fallait couper le panneau pour qu'il soit transportable.
Dans ce cas, je supprimerais le grand panneau de la liste et je laisserai les autres. Par défaut OCL rajoute un panneau standard s'il y a besoin, mais après avoir utilisé les chutes. A noter que les dimensions du panneau standard se choisissent également.(peut être pas en les personnalisant, mais en prenant les dimensions les plus proches qui te conviennent).
Bonsoir Etienne,
J'avais effectivement vu dans une autre question que vous aviez précisé le modèle que vous avez. Je n'ai pas ce budget malheureusement.
En fait, vous avez des échantillons qui vous servent à étalonner l'hygromètre ? Comment pouvez vous savoir le degré d'humidité des échantillons ? Ils doivent fluctuer suivant l'hygrométrie de l'air, non ?
Je n'en suis pas au même point que vous mais effectivement, j'essaye d'être rigoureux et de prendre des bonnes habitudes.
Avec plaisir, c'est vraiment un ouvrage qui n'est clairement plus à la mode mais qui contenait un grand nombre des difficultés techniques de nos métiers. Je suis très loin de ce niveau là, mais les compliments font toujours plaisir
Je n'ai pas commenté le coffre, mais j'en suis très fan aussi !!n Et le plan sera une ressource précieuse à l'avenir.
Il y la solution de moins dormir évidemment. Mais c'est fatiguant...