Ca peut se discuter, mis déjà d'un point de vue pratique tout le monde n'a pas un Ikéa à côté de la maison.
Ikéa ils sont passé en 19mm aussi ? Le 16mm, ça fait pas le même rendu (un peu comme quand on ferme une porte de voiture française et une voiture allemande).
C'est tout à fait possible, je sais qu'il y a des industriels qui y sont passé mais je ne sais pas trop qui ni quand. D'ailleurs, ce n'est pas un sujet qui me préoccupe depuis longtemps
l'ami Foussier (ou autre d'ailleurs si vous avez des tuyaux)
Au début, je commandais chez Foussier.
Après j'ai eu besoin d'un gond que j'ai trouvé chez Trenois Decamps. Et en fait les prix étaient très souvent plus intéressants que chez Foussier.
Enfin, j'ai vu un commercial de chez Legallais et il m'a ajusté des tarifs encore plus intéressants mais pas sur tout, tout le temps. Mais on peut discuter, il est réactif.
Donc les prix affichés ne veulent pas forcément dire grand chose. Ca peut changer suivant si tu as un interlocuteur ou pas et suivant s'il veut t'avoir comme client ou pas.
Et il existe d'autres quincaillers plus ou moins régionaux, ça dépend de ce qu'on trouve sur ton secteur.
EDIT : je viens de voir que sur Verfeil. La prochaine fois que je descends sur Castres, j'essaie de te faire un petit coucou. Et si mon frère (à Ramonville) à besoin d'un menuisier, je saurai qui lui conseiller.
Ce que tu décris avec ton commercial Foussier, c'est un peu ce que je vis avec le mien de Legallais. J'ai jamais vu personne de chez Foussier.
Je reste client dans plusieurs endroits parce que c'est pas en période de pénurie qu'il faut trop limiter les fournisseurs. Et puis je continue à (trop) comparer les prix. Et enfin, on ne trouve jamais tout ce qu'on veut chez un seul fournisseur.
Super pour les bières
Et pour mon frangin, c'est sympa autant pour lui que pour toi. Je découvre avec ses histoires de travaux que c'est compliqué de trouver des artisans dans les grandes villes. On ne sait pas à qui s'adresser, les petits artisans sont tous anonymes, (alors que par exemple, je suis déjà un peu connu dans mon petit village), et en plus c'est difficile de savoir à qui faire confiance.
Non en fait ceux qui bossent s'intéressent plutôt aux gros chantiers. C'est dur d'avoir des devis. Et quand tu en acceptes un, c'est toujours la loterie pour la façon dont ça va se passer et le résultat final.
Je pense que la façon de concevoir joue déjà sur l'état d'esprit. Perso, je suis là aussi pour rendre service aux gens. Ça se paye mais c'est moins rentable : Tu peux pas prendre 100 euros pour recoller une chaise qui en vaut souvent moins.
Oui je suis connu mais c'est à double tranchant. Connu ne veut pas dire connu en bien, ni en mal.Donc ça peut aller très vite dans un sens ou dans l'autre. Ça implique, en tout cas selon moi, une grande responsabilité. Mais en même temps la satisfaction du client était une rubrique où j'ai toujours été bien noté dans ma vie d'avant.
Merci
Alors non le brou de noix est plutôt aquatique, il se dilue avec de l'eau pour avoir des teintes plus claires. Dans mes différents essais, j'ai même essayé de mélanger le brou de noix et l'huile de lin (+ térébenthine et siccatif ). C'était même l'un des rendus que je préférais. Mais ça fait une sorte de vinaigrette qu'il faut faut bien remuer en permanence. L'un des plus grands chimistes de l'ADB m'a déconseillé de poursuivre dans cette voie.
Et donc du coup, ce n'est qu'une teinte, il n'y a aucun effet protecteur.
Merci
Non, elles sont justes vissées et une seule vis vu que les fils se croisent avec les traverses. A la limite, si j'avais voulu une fixation plus solide je l'aurais faite à base d'entaille en queue d'aronde.
C'est bon à rappeler, ça, merci DewhitYoussef
Merci ^^
J'avais jamais vraiment utilisé le brou de noix, il y a très longtemps et sur des bricoles. Par contre, j'ai déjà travaillé avec d'autres teintes à l'eau ou à l'alcool. Là je suis fan de la facilité de pose, du temps de séchage et de l'homogénéité du rendu.
Merci ^^
Non les pieds sont justes contre l'équerre quand on serre fort : il y a 2 mm de jeu. Et ils sont bloqués par les abouts des traverses longues et courtes dans les angles.
Je n'ai pas pris de photo du dessus avant la mise en place des lames.
On devine un peu sur celle ci et sur l'épure.
Sinon ce sont des équerres de table, faites exprès.
Et j'ai depuis plus de 20 ans une table Ikéa qui est faite sur le même modèle (avec des inserts dans les pieds ai lieu des boulons traversants.
Non c'est clair, c'est une table d'appoint que j'ai gardé depuis tout ce temps et donc elle a les pieds démontés 364 jours par an. Du coup, je connaissais bien le système et comme j'étais déjà tombé sur des équerres comme ça en passant mes commandes, je savais que je trouverais facilement.
merci ^^
Oui, il faut faire confiance aux décorateurs mais c'est difficile de communiquer avec des photos, le rendu en vrai n'est pas forcément bien retransmis. Avec la cliente, nous ne nous sommes vus que pour la livraison.
Oui les essais préalables sont toujours utiles. Les produits d'une même marque ou au moins d'une même gamme sont compatibles entre eux mais pour les autres "mélanges" de produits, il y a parfois des réactions étonnantes. Des fois c'est juste que ce n'est pas le rendu qu'on attend même si ça peut rester joli et durable.
Par contre, la réponse de José Das Neves qui préconise ici de la cire par dessus un vernis m'a refait penser à cette maxime du gras sur maigre. A priori j'aurais pensé que sur le vernis on ne pouvait rien rajouter. Mais c'est vrai que la cire me semble plus grasse que le vernis. Et puis si José le dit, je n'en doute pas un instant.
Merci, effectivement, j'ai entendu dire que le mariage était grandiose.
Mais je n'y étais pas, et ma moitié non plus
Oui merci, c'était sympa à faire. Bon le douglas reste assez pénible à travailler et ça rempli les sacs de l'aspirateur à copeaux à une vitesse folle (je te le dis car tu dois pas être au courant ). Par contre, faut aimer l'odeur, et perso j'ai me bien. En plus quand j'ai fait les essais à l'huile de lin, ça embaumait tellement que j'avais peur de finir en état d'ébriété !
Ah ? Toi aussi, ta création a été inaugurée par un restaurant étoilé ?
Il est chouette ce meuble mais c'est vrai que ce n'est pas une couleur qui fait salle de bain à priori. Mais le rendu n'est pas désagréable. Le bois massif ajouté un côté luxueux.
Par contre, pour mettre du mêla hydrofuge, hors des coloris standards, chez panofrance, c'est une commande de 2 plateaux minimum. Ça limite vachement les possibilités.
Et puis, c'est difficile de proposer des couleurs aux clients. Ça peut vite prendre des plombes à choisir.
Les utilisations surtout serait intéressantes. (bâtiment, construction, agencement, mobilier, bardage, etc)
Eventuellement les contraintes (chants à traiter, de quelles manières)
Par contre e pose la question des variantes : faut il créer une fiche générale avec tous les CP ou en faire une à part par exemple pour le ctbx. A moins que l'on puisse gérer des familles de produits.
Vu de loin, il a l'air assez simple, même si on le devine un peu torturé.
De prêt, c'est un festival de détails qui se prolonge en ouvrant les tiroirs et en faisant le tour.
De ce qui parait simple et un peu tordu on s'aperçoit qu'il y a un travail énorme derrière tout ça, une foule de techniques à connaître et maîtriser et bien sûr une grande créativité déjà présente dans le livret initial.
Bref, il mérite d'être une "boite d'inspiration n°2" à lui tout seul.
Bravo, maintenant on attend la suite.
Si si.
Avec impatience même.
Alors ?
Ca vient ?
(mon impatience était pour les prochaines créations de Blanche )
+1 et ne pas hésiter à acheter du matériel adapté. Il y a plein de rouleaux ou de pinceaux mais ils sont leurs usages.
Dernièrement, j'avais commencé une finition avec un rouleau qui me restait de ma vie d'avant. Ben c'était pénible à passer et j'ai consommé beaucoup de produit. maintenant je stocke mes outils par catégorie : peinture, lasure, vernis, etc et ils sont étiquetés. Et j'achète ces outils chez les marchands de finition (vedel, laverdure, etc).
Résultat : c'est plus facile et c'est mieux (et moins de consommation de produit).
En l'occurrence, ça n'a pas nuit à la qualité de la finition (un vernis ultra mat) mais j'ai perdu du temps et de l'argent, et du plaisir.
Quelle est la destination de ta porte ? Intérieur ou extérieur ? Pièce d'eau ?
C'est vrai qu'elle est jolie.
Je vais noter la réponse aussi ^^.
Par contre, José Das Neves, quel produit conseilles tu entre le white, l'essence f ou celle de térébenthine ? En terme d'utilité mais aussi en terme de nocivité ou d'aspect un peu plus naturel (difficile de parler de produit écologique là)?
Merci Bricoliste
J'ai adoré la fabriquer. Effectivement l'outil à tenonner est le maxi que supporte la toupie. Au delà elle s'envole j'imagine
J'ai pas fait le malin quand je l'ai lancée avec ces disques...
Merci beaucoup Loïc.
C'est ça qui est génial dans ce métier : on peut passer du tradi en massif à de l'agencement en 3plis. Je me lasse vite si je fais toujours la même chose. Dans ce métier, je crois que je ne risque pas la lassitude !
merci woodlouse19
oui, c'est bien du chêne européen, avec un petit champi qui baisse son prix par deux environ. Souvent, c'est moi qui propose cette essence pour des questions de budget, mais ce coup ci le client connaissait et en voulait.
En plus, cette variété amène de la créativité. Et ben.... c'est super cool aussi.
En fait sur la toupie, il y a un tableau qui indique les possibilités en terme de type d'outils, de diamètre et de vitesse. Je reste dans les clous par rapport à ce tableau. En vrai, ça passe ni plus ni moins comme dans une tennoneuse à plateaux. Les rouleaux sont quand même moins violents mais je me sens pas en danger pour autant, même si ça reste intimidant.
Pour moi "chêne rouge" (ou brun d'ailleurs) se rapporte automatiquement au chêne français attaqué par un champignon. Mais j'ai peu de culture et d'expérience. En fait, je répète ce que j'ai entendu dans mes périodes de stage et travail, ce que disent mes confrères et scieurs. Mais il faut dire qu'on est dans une région où il est assez difficile de trouver autre chose que du chêne (bme ou rouge), de l'épicéa ou du Douglas.
C'est bien de voir que ce qui est évident pour soi ne l'est pas forcément pour tout le monde.
Merci beaucoup MoFran
Tu parles de la peinture de la salle de bain ? La porte va rester telle qu'elle est. Je vais voir si je peux obtenir ça. Le chantier est assez loin et je vais rarement dans cette zone.
Merci beaucoup Wil
Ma méthode, c'est celle de Pascal M.
Tu ne connais pas Pascal M ?
C'est un prof du lycée où j'ai passé le BEP, il a une grosse expérience, il a été artisan et avait pris la suite de son père.
Bref, la paumelles du haut est placée à une distance d'1 paumelle du haut de la porte. Celle du bas est placée à une distance d'1,5 paumelle du bas de la porte. Ensuite, j'ai reparti les 2 autres régulièrement.
Je sais qu'on peut rapprocher la 2 ème paumelle en partant du haut de la première. Mais là je ne connais pas la règle de répartition.
Les coupes d'onglet ont été faites à la radiale... enfin pour quelques unes car 2 traverses sur 3 étaient trop larges pour passer à la radiale.
Je les ai donc faites à la main avec une scie et une demie boîte à coupe d'onglet. Il faut bien sûr avouer qu'elles ne sont pas toutes aussi réussies que celles de la photo.
C'est clair que c'est un super chantier, j'étais content de faire du vrai tradi.
Étant encore un peu "tendre", c'était très formateur aussi.
merci sylvainlefrancomtois, oui, c'est addictif !!
Merci Ara
c'est bien moi, j'aime bien les doucines aussi
Arf, les noms des essences sont parfois en contradiction avec les habitudes locales. La xylothèque, c'est du global : on y met potentiellement toutes les essences du monde entier. Et à part quelques exceptions, on ne touchera jamais à au moins 90% de ces essences.
Wil pour l'usinage, j'ai appris à le faire avec une mortaiseuse à mèche. Ça se fait bien et c'est assez précis, même s'il y a quelques retouches à faire du fait de la conicité du taillant de la mèche et de la réduction de son diamètre par les affûtages qu'elle a reçu.
Du coup, j'ai fait avec une défonceuse avec une grande semelle en appui sur plusieurs montants et un guide parallèle. La galère que j'ai eu, c'est que je n'avais pas de fraise de 15. J'ai pas voulu faire avec une fraise de 16, donc j'ai fait avec du 12 en 2 passes. La fraise de 15 sera là pour les prochaines fois.
Le passage des noeuds est fini au ciseau à bois.
Question alignement, je place le dormant en position (en vrai, j'ai fait une lamentable erreur à ce moment là mais qui n'empêchait pas que tout soit parfaitement aligné) contre la porte équipée de ces paumelles. Je trace sur le dormant le bas du noeuds de sa paumelle. Ensuite, je reprends le dormant et je finis de tracer l'entaille de la paumelle. Idéalement, la défonceuse est déjà réglée et il n'y a juste qu'à savoir où commencer et s'arrêter.
Les passages de noeuds sont finis au ciseau aussi. D'ailleurs c'est cette partie de l'entaille qui réclame le plus de précision, à mon avis.
Mais il y a sûrement d'autres méthodes. Il existe des paumeleuses et j'ai vu récemment Frédéric verdiere Frédéric verdiere en faire avec une affleureuse. Mais il est sur chantier et il n'a peut être pas le choix.
Ara OK, ce sera plus facile quand je ferai une porte berrichonne
merci ^^
oui c'est clair, c'est ce qui me plait le plus. Il y a des trucs qu'on préfère à d'autres mais je n'aimerai pas me lasser de ce qui me fait prendre mon pied maintenant !!
Et puis je veux toucher à tout pour apprendre, encore et encore !
L'outil incongru, c'est celui dans la caisse Metabo sur la 3ème photo ??