EstOuest voulait justement dire que vendre" au plateau (ou à la planche) c'est beaucoup plus cher qu'au plot et c'est normal.
Mon scieur est à 1400 € HT en 54 sur du chêne BME, en plot.
Je ne sais pas dire combien il faudrait rajouter pour la vente au plateau. Sachant que par exemple mon scieur a arrêté ça car les plus beaux plateaux partaient et il se retrouvait sur les bras avec les plateaux de cœur, invendables seuls.
Je viens de remettre un jeton dans la machine.
Après avoir relu ma question et vos réponses, j'ai voulu actualiser un peu tout ça après quasi 1 an d'expérience.
Au final, j'ai du boulot au moins jusqu'à la fin de l'année mais en fait j'ai compté large pour espérer combler mon retard d'une part et insérer facilement les petits chantiers entre les gros.
Mon principal problème était et reste dans une moindre mesure de ne pas être assez opérationnel et de perdre trop de temps.
C'est vrai mais je ne pense pas que le statut change grand chose. Qu'on soit auto entrepreneur (micro entreprise), artisan en EI (c'est mon cas) ou en EURL/ Eirl, on est tout seul. Je pense que c'est ça surtout que tu voulais dire.
A un moment donné, il y a des choix à faire : allonger les délais, investir pour être plus productif (jusqu'où ?), embaucher...
J'avoue que le jeune en apprentissage me tente bien même si je ne me sens pas du tout au niveau pour former un jeune. la Transmission est très importante pour moi. Et bien que ne me sentant pas au niveau, j'ai forcément des choses à transmettre : je pense qu'on peut transmettre dès que l'on sait quelque chose, même infime.
JPA33 tout à fait, c'est la magie du mot "apprendre" il marche dans les deux sens. On ne s'appauvrit jamais en apprenant.
Et si je tombe sur un bon apprenti, il pourra m'en apprendre beaucoup aussi !!
Je comprends ce que tu veux dire. Mais ce n'est pas ma question.
Je reformule :
- tu as trois chantiers de prévus
- tu as chiffré ces chantiers et tu penses y passer 60 heures
- étant donné que tu ne fais pas que bosser sur ces 3 chantiers, comment détermines à partir de quand tu pourras commencer le 4ème chantier ?
(en supposant que le 4 ème ne commence que quand les 3 autres sont totalement terminés, ce qui est un raccourci évidemment faux).
Autre reformulation :
- comment fait un pro pour dire "j'ai 6 mois de boulot d'avance"
La problématique, c'est annoncer un délai aux clients qui acceptent ou discutent les devis.
PS : j'ai répondu à Etienne sur le volume horaire, je suis bien d'accord. Je suis à peu près à 08h00 à l'atelier jusqu'à 18 / 19h00 si pas de rdv client. Et le soir, c'est devis pendant 2 heures minimum. Par contre, j'ai une pose assez longue pour manger : 1h30.
Par contre, je suis long sur mes devis car je fais des plans pour tout (dans SU, et je sors les fiches de débit dans OCL). Mais je deviens de moins en moins long. Et SU m'aide à concrétiser les propositions.
Et pour dire que t'as six mois de boulot, il faut avoir six mois de devis signés..
Ben non, il faut plus de 6 mois pour faire 6 mois de travail d'atelier..., c'est ça ma question en fait.
Si on reprend un exemple, ta bibliothèque, tu as mis combien de temps pour la fabriquer (à supposer que tu comptes les heures sur un chantier donné). Et en parallèle, tu l'as commencée quel jour et terminé quel jour ?
Ce qui m'intéresse, c'est comment déterminer à l'avance, plus ou moins, la différence entre ces 2 calculs.
Niouniou oui, c'est exactement le fond de ma question ! Merci beaucoup ! J'affinerai plus tard, mais ça me donne une base.
Je mets un peu la charrue avant les boeufs : mon atelier n'est pas encore pleinement opérationnel. Mais j'ai besoin de planifier les choses. 2 ou 3 chantiers d'avance, je peux gérer dans ma tête mais plus, ça devient compliqué.
Ça revient un peu à d'autres ratios :
- heures facturées / heures facturables
- heures facturables / heures travaillées
- heures facturées / heures travaillées (aïe !)
Je ne fais pas la même différence que toi entre artisan et entrepreneur mais je vois ce que tu veux dire. Ceci dit, je me défini comme artisan.
Il est évident que beaucoup de repères sautent et qu'il faut être à l'aise dans beaucoup de domaines. Il faut même être plutôt bon dans ces domaines si on veut espérer survivre. C'est pour ça que je pose cette question pour essayer de gagner un peu d'expérience en puisant dans celle des autres. Mais la vraie réponse ne viendra que de moi car elle me sera très personnelle.
Au travail, je peux être à fond dedans ou parfois volage, il y a des jours avec et des jours sans. Il y a des jours où ça avance tout seul et des jours où on est bien dérangés. Mais les dérangements ne sont pas forcément néfastes in fine. Et souvent, c'est aussi du travail (la communication, les "relations publiques" par exemple).
Questions plans, je fonce un peu tête baissée dedans.
Ma démarche : regarder sur l'ADB s'il n'y aurait pas déjà un plan approchant ce que je veux faire. Soit je copie, soit je m'en inspire ou vérifie certains points. Sinon, je pars de zéro. Pour l'instant, je n'ai pas de syndrome de plan blanc mais ça m'est arrivé plusieurs fois de réviser les plans car je butais sur des points techniques non anticipés.
Je fais des plans pour tout même si c'est + ou - nécessaire :
- ça permet d'anticiper les problèmes techniques comme déjà dit
- ça me forme sur skechup
- ça me facilite grandement la tâche de l'analyse de fabrication
(un des menuisiers avec qui j'ai déjà travaillé (et qui donc me connait assez bien) m'a conseillé d'établir au début des analyses de fab bien détaillées. Et à l'usage, je trouve le conseil bien judicieux. Je m'aperçois déjà qu'en fait il n'y a pas non plus 15 000 techniques de conception d'un ouvrage en bois et que de nombreux schémas se répètent. - ça m'aide à vendre (je suis souvent étonné du prix de mes devis)
- ça facilite aussi énormément les discussions avec le client qui ne visualise pas forcément les choses comme nous
La rentabilité est pour moi très importante mais vient au second plan. Ne serait ce que chronologiquement, la rentabilité, c'est ce qui reste à la fin. Pour moi, le plus dur, c'est de commencer un projet, c'est à dire de faire toutes les étapes préliminaires.
Ensuite, le second point essentiel, c'est de mener la fabrication.
Et après on pense rentabilité.
Et sur mes premiers projets, je ne serai pas ou peu rentable car j'ai beaucoup de choses à mettre en place dans l'atelier ou dans mon travail. Par contre, je vais la surveiller et l'analyser, pour corriger le tir le plus vite possible si besoin.
Je me pose beaucoup moins de questions pour les petits projets : je facture à la lurelure comme on dit dans le Berry, c'est à dire au pif à peu près. L'objectif n'est pas de gagner des sous mais de gagner un client, de rendre service à quelqu'un, de me faire connaître voire apprécier. Mais je ne fais pas ça gratuitement non plus. Dans ces cas là, je leur dit qu'ils me payent "ce que vous voulez".
(Bon courage, mais a certains moments si tu te sens paumé saches qu'on l'est tous !)
Merci (je sais content sur la communauté bienveillante de l'ADB ! )
J'étais dubitatif sur les sketchup, mais clairement, je vois bien que les clients apprécient.
Et je vois ça comme un investissement car ça m'aidera énormément pour l'atelier.
J'ai proposé un claustra avec des lames verticales orientées comme une persienne. Et clairement, c'est sketchup qui a permis de se rendre compte de ce que ça donnait. Ce n'était pas la demande initiale du client mais ça a permis de faire passer un projet plus abouti.
Je ne sais toujours pas si la recette existe mais je ne l'ai pas trouvée.
Mais, les erreurs commises au début sont :
- remplir le planning : il faut laisser du temps pour les imprévus et les petits chantiers qui arrivent au fur et à mesure. On ne peut pas dire à un client : le marche pied, je le fais dans 6 mois ou 1 an.
Par contre, j'avais senti venir la chose et j'avais zappé des mois dans le planning. Mais pas assez. - me tromper sur les estimations de temps : c'est encore le cas mais moins. Là il n'y a aucune recette, seule l'expérience permet d'affiner ce point.
Par contre, globalement ma méthode n'a pas changé : plan, feuille de débit et devis
JPA33 oui ce serait à faire. Je vais peut être réessayer : je n'ai jamais réussi à tenir à jour ces feuilles de temps sur la longueur d'un chantier.
Oui voilà, c'est à ça que je pensais quand je disais qu'un chantier de 40 heures ne rentre pas dans une semaine... Mais c'était resté dans ma tête, tu as bien fait de préciser
Bonsoir,
Je suis bien d'accord avec vous, mais ma question ne porte pas sur le volume horaire.
On peut reformuler en disant qu'un chantier de 70 heures ne rentre pas non plus dans une semaine de 70 heures.
A l'heure actuelle, j'avoue ne pas être à 70 heures mais pas loin des 60.
D'ailleurs, etiennedesthuilliers, je reprends un de vos commentaires récents sur le temps de ressuyage. Ce temps n'est évidemment pas du temps de travail. Mais il allonge les délais pour le client.
Bon pour moi c'est confirmé, un chantier de 40 heures ne rentre pas dans une semaine ! Si je début un chantier de 40 heures le lundi matin, il ne sera pas terminé le vendredi soir.
Au final, les temps les plus longs sont le ressuyage si besoin et surtout les temps de finition. Maintenant j'y fais attention dans le choix des produits mais j'ai utilisé une peinture qui nécessitait 24 heures de séchage entre 2 couches !!!
Quentin Xaillé : je suis curieux de t'entendre à nouveau sur xe sujet avec l'expérience acquise.
Merci de ces commentaires qui apportent des arguments à la discussion. La variable que j'y vois, c'est que tout le monde n'a pas les mêmes méthodes de travail, la même place et la même capacité d'organisation. Gérer plusieurs chantiers de front, c'est zapper (enfin pour moi).
Par exemple, sur mon premier chantier (sur 1 seul chantier donc), je n'ai pas fait tout le corroyage d'un seul coup. En effet, le taux d'humidité de l'atelier m'incitait à bien ressuyer le bois. A chaque fois que je finissais le corroyage des pièces d'un panneau, c'était pour le coller dans la foulée. Et je n'avais pas la capacité de tout coller d'un seul coup. Entre les temps de séchage et les autres tâches, ça m'a pris 2 semaines en tout.
Sur un chantier d'agencement en panneaux, je n'ai pas les mêmes contraintes et je peux aller plus vite. Donc faire un chantier d'agencement en même temps qu'un chantier en massif a du sens pour moi : je m'occupe d chantier d'agencement dans les temps d'attente du chantier massif.
Non seulement tu peux évidemment te permettre () mais en plus tu as raison. Ça dépendra évidemment aussi du type d'activité. Dans mon cas (fabrication uniquement -ce sera différent pour quelqu'un qui fait aussi de la pose-), on dirait que ça part pour faire moitié / moitié entre le massif et le panneau. D'où ma réflexion.
Super, on rentre un peu plus dans le fond de la question (j'ai vraiment dû mal m'exprimer).
Tu prévois combien de marge ? Cette marge, tu la mets avant le chantier, en commandant les approvisionnements plus tôt que nécessaire ? Ou après le chantier en prévoyant du temps en plus pour finir ?
(Sachant que commander plus tôt peut avoir un impact sur la trésorerie)
Le zap coûte effectivement cher, surtout s'il retarde suffisamment les chantiers pour empêcher de facturer avant la fin du mois. Suivant la situation de trésorerie et la durée estimée des chantiers en cours ou à venir, je décide du début ou du décalage d'un nouveau chantier.
Donc il vaut mieux faire des petits chantiers rapides en fin de mois et les plus longs au début du mois (en général).
Côté marge, un ami menuisier m'a dit qu'il comptait des mois de 3 semaines. La semaine bonus lui permettait de gérer les imprévus, de caler un petit chantier sympa ou prendre de l'avance sur le chantier d'après.
Merci, c'est sympa. C'est vrai que ça pourrait aider mais je n'ai pas envie d'aller aussi loin. AMHA l'expérience permettra rapidement de combler ce déficit mais il me manque des bases immédiates. Dans un premier temps, je vais raisonner par dates limites en espérant avoir fait le travail avant. Et mon échelle de temps est le mois. Les clients le comprennent, pour l'instant.
Mon pote affûteur me dit que de toutes façons, tous les menuisiers sont en retard.
Mais je suis d'accord sur le principe de LA partition. C'est comme ça qu'on industrialise plein de processus et qu'on déshumanise tout.
Disons que dans la forme, ça ne sera pas aussi poussé et je n'ai pas besoin d'être très précis. Mais sur le fond c'est exactement ça, oui.
Merci JPA33
Ce n'était pas le cœur de ce que je voulais poser comme questions mais ça fait aussi partie de mes interrogations.
Grosso modo, c'est ma façon de travailler :
Je fais les plans ce qui me permet d'avoir des croquis techniques, de valider la faisabilité du projet de faire mes choix de conception.
De là j'en tire ma feuille de débit.
Ensuite, à partir des plans et de la feuille de débit, je fais une analyse de fabrication.
Ce qui me permet de déterminer un volume horaire de travail.
Je n'ai plus qu'à rajouter les autres matériels, la quincaillerie, etc.
Mais l'étape déterminante sera surtout de vérifier que mes temps de fabrication estimés ne sont pas trop déconnants.
Oui, je saucissone les tâches. Comme dans les processus en fait.
Feuille de labeur... le temer me plairait bien si j'étais salarié, mais là c'est connoté trop négativement pour moi ^^
Merci pour le truc des heures de 50 minutes ! C'est aussi une astuce utile.
Bon à utiliser toutes les astuces de tout le monde, mes tarifs vont doubler : à utiliser avec parcimonie donc et à personnaliser suivant ce qui me va le mieux.
Alors, mon mode d'établissement des devis s'est affiné avec le temps. Et j'ai quand même fait certains devis qui reviennent. mais très peu en fait. On me sollicite pour des choses très différentes.
Par contre, je ne suis pas assez rigoureux pour noter tous mes temps. Du coup je ne sais pas exactement les écarts. Mais il y a une règle : tout est plus que prévu.
Par contre (encore), je repère ce qui me coûte du temps ou ce qui m'en fait gagner. Je repère si les choix faits sont les bons ou non. Et souvent quand on s'en aperçoit, c'est que ce n'était pas le meilleur choix. Dernier en date : une feuillure dans le méla à la défonceuse plutôt qu'à la toupie.
En fait de en fait, sur 6 mois, il faut rajouter 50% à 80% par rapport aux estimations du planning initial...
Super, c'est vraiment ce genre d'infos que je recherche. Merci.
Evidemment, il faut le personnaliser, il y a tellement de paramètres qui font varier ça. Mais en n'ayant pas de base sur ce point, tu m'en fournis quelques unes.
Je ne pensais pas aller si loin dans la planification mais là, j'ai besoin de m'organiser, ne serait ce que pour donner un délai approximatif au client et prévoir les approvisionnements.
Au niveau du temps de travail, nous ne sommes pas tous égaux. En vrai, je suis très au delà des 70 heures. Il faut dire que je compte le temps sur l'ADB comme tu temps de formation aussi. ^^ (ce qui est en grande partie vrai en fait).
Et puis, comme je disais dans mon ancienne vie de petit chef : il ne faut pas confondre 8 heures au travail et 8 heures de travail !!
Merci cocoM
C'est très intéressant tout ça. C'est plutôt précis et ça me semble concret et utilisable.
C'est sûr qu'il y a toujours des aléas et on ne peut pas tout prévoir. Après je ne cherche pas non plus à tout planifier à la seconde. Sinon autant rester salarié avec un chef au dessus.
Et puis, je suis plutôt dans le même état d'esprit que toi : définir des dates assez loin et essayer de faire plus tôt.
Bon quasi 1 ans plus tard, je saisi mieux tout ce que tu voulais dire.
A l'époque, j'espérais avoir du boulot. Maintenant, j'espère arriver à gérer tout ce qu'on me demande.
Certes l'expérience aide (heureusement) mais 1 an plus tard, je ne suis toujours pas certains de bien estimer mes devis. C'est rassurant d'avoir encore de la marge de progression.
Ma plus grosse erreur en terme d'organisation : commencer plein de chantier en même temps pour montrer aux clients que ça y est j'ai enfin commencé. Ben du coup, tout prend beaucoup de temps -trop- et ça décale les rentrées de trésorerie.
Merci Glorfindelrb
Oui je sais que c'est démesuré. Mais j'avais pris le tuto le plus clair que j'avais compris. Je suis parti des dimensions minimales proposées sachant qu'ils ne descendaient pas aussi bas dans les portées.
Ceci dit, tu me rappelles que je dois faire une mise à jour : j'ai eu mon assureur et je ne suis pas assuré pour les structures. Pour l'être, il faudrait non seulement payer plus cher (why not) mais surtout avoir soit un diplôme de charpente, soit une expérience (justifiée par une fiche de paie). Donc j'ai contacté un sous traitant, j'attend de voir ce qu'on peut faire.
J'ai liké avant de voir ce dont il s'agissait.
On avait déjà eu droit au cahier de kaj (qui a servi de base au mien)
et plus modestement mais plus ancien celui que j'ai sauvé d'une déchetterie :
Nul doute que celui ci sera fort intéressant aussi.
sylvainlefrancomtois bon choix, on est aussi dans le principe de l'aide mémoire.
Avoir des gants sur une machine qui tourne peut être la cause de l'accident.
Je ne mets des gants sur les machines qui tournent que quand je manipule des vraiment gros bouts de bois. Et que donc le bois est entre la main gantée et la machine.
Attention aux macnhes qui trainent dans le même ordre d'idée.
Ah, je me suis fait attraper le gant par une bosse rotative montée sur perceuse une fois. Ca fait réfléchir surtout qu'il n'y a pas eu d'avertissement, ça va très très vite !
Très bon choix de livre Olivier. Il est inspirant. Presque à en devenir carnivore (les plantes ont une âme).
Ce que je trouve un peu rassurant, c'est que des gens qu'on ne peut pas forcément qualifier d'activités ou de dangereux écologistes commencent à défendre des modes de gestion plus durables. Que ce soit pour la forêt ou dans d'autres domaines. Les choses évoluent lentement mais elles évoluent.
Merci Denis !
Oui je sais que c'est surdimensionné, les abaques sont pour des portées de 4 mètres et j'ai deux fois moins.
Mais j'ai pris les plus petites sections dans ces abaques.
Ce qui m'intéresse, c'est de valider le processus global :
- solives + plancher + sous couche + parquet
- le système de maintient des solives (muralières)
- savoir jusqu'où je peux descendre en sections mais au pire, je reste comme ça, ce n'est pas le plus important.
Ah oui, je suis d'accord avec mes 2 confrères, ce n'est peut être pas plus mal d'assumer la différence. Tu peux même l'accentuer avec une finition brillante ou satinée sur l'un et mate sur l'autre. L'idée vient de me venir en tête, faudra que j'essaye...