Effectivement plus le chariot est grand mieux c'est. Perso, j'ai un grand chariot mais pas assez de place autour. En fait la longueur maxi me sert surtout pour le massif.
Il faut dire que je fait toujours débiter mes panneaux, au moins 1 coupe "de transport" même si je me fais livrer. (merci open cut list pour savoir où positionner cette coupe.) En effet, il est difficile de positionner un panneau entier seul sur la format, sans abimer le dit panneau, surtout en mélaminé.
Je ne l'ai jamais fait à la toupie mais je l'ai fait une fois à la défonceuse sous table. Je me souviens d'avoir mis mon bout de bois dans le sens habituel... "Certains disent qu'ils l'ont vu voler"
Je ne me souviens plus pourquoi par contre mais ça devait être pour garder le guidage. J'aimais bien (et encore aujoud'hui) arriver à reproduire des moulures ou des profils avec le matos à disposition : fers et fraises. Ca fait cogiter.
Aujourd'hui j'ai reproduit des nez de marche avec une moulure Louis XV sur un multipente (et un quart de rond pour finir).
Ceci dit le travail derrière l'arbre m'est revenu en mémoire quand quelqu'un en a parlé dans une réponse ou un commentaire.
Et à la réflexion ce n'est peut être pas évident de travailler derrière l'arbre et avec l'entraineur.
Autre acrobatie faite avec l'entraineur mais qui est très courante, c'est usiner une pièce verticale en renversant la tête de l'entraineur. J'ai fait des plinthes comme ça (avec la même moulure Louis XV que les nez de marche et une scie sur la toupie pour une petite rainure).
FourmiAffamee j'ai vécu un peu la même chose : des démarches commencées dans un lycée et puis on m'a refusé pour "raison pédagogique" (en fait l'enseignant en charge de bac pros avait trop de boulot).
Du coup, j'ai appelé le lycée du département voisin (les deux sont à la même distance de mon domicile). On m'a répondu "un bac pro en un an ? non c'est pas raisonnable mais en deux pourquoi pas".
Résultat des courses, j'ai fait un BEP (qui n'existe plus) et n'ai jamais passé le bac pro car je n'ai pas trouvé de patron et c'était obligatoirement en alternance. Je m'y suis inscrit en candidat libre mais refus à nouveau car il faut au moins 3 ans d'expérience.
Mais comme le dit cocoM, il y a d'autres formations.
Bonne réussite dans ton projet.
FourmiAffamee courage entre les incompétents et ceux qui sont de mauvaise foi tu n'as pas fini...
Ah mais j'espère que tu ne prends pas mes commentaires comme des freins. Vas y fonce. Ca ne sera pas plus dur que ça l'est déjà, juste usant.
Il n'y a pas de recette, il faut multiplier les contacts et les démarches et à un moment ça va se débloquer.
J'ai fait comme toi (mais pas l'armée), j'y suis passé assez récemment. J'ai fait un pas à pas où je raconte tout ça. Comme je suis bavard, c'est plutôt pour les longues soirées d'hiver...
Tu es dans quel secteur géographique FourmiAffamee ?
je n'ai JAMAIS eu accès à ces listes "au cas où" je ne crois pas qu'elles existent vraiment ou alors c'est pour du copinage.
Par contre, je suis d'accord, va voir d'abord des entreprises et demandent leur quelles sont les meilleures formations dans le secteur. Toutes les écoles recrutent mais la plupart du temps, il faut un contrat. C'est la foire à la formation.
Tu peux aussi aller voir les organismes professionnels ou syndicats professionnels comme la FFB ou le CAPEB. Eux, ils ont vraiment des carnets d'adresses. Autre piste, mon pote affûteur m'a donné pas mal de tuyaux. Tu peux peut être contacter les affûteurs de ton secteur, ils sont au courant de tout.
Au final, j'ai réussi à me former en restant sous statut pôle emploi. Mais je ne sais pas si c'est ton cas.
Bonne continuation
Ara Le GRETA ne forme pas directement à la menuiserie mais est l'organisme qui s'occupe de la partie financière quand un adulte va en lycée pro.
D'ailleurs les profs touchent très très peu d'argent du Greta mais les Chefs d'Etablissements et les Chefs de Travaux un peu plus.
J'approuve dneis pour les varlopes en bois.
Elles sont d'une prise en main plus facile que les rabots à main en bois et il y a peu d'écart avec les rabots en métal.
Il y a un autre point d'importance. Sur des vieux ouvrages, il y avait souvent uniquement des chevilles et pas de colle (dans les assemblages tout du moins). Le gros avantage est de les rendre réparable par un démontage facile.
Il y a des colles réversibles bien sûr mais je ne suis pas sûr qu'elles soient utilisables pour de la menuiserie extérieure par exemple.
Et au passage, bravo Raspitef pour être allé au bout de ce projet.
Je rebondis sur les caissons car je suis en train d'étudier et de tester les différentes possibilités :
Chaque solution à ses avantages et inconvénients. Et là on ne parle que des caissons.
Concernant les façades, j'ai encore quelques projets à venir avec du méla et je passerai mes chutes importantes. Mais sinon, je vais arrêter. Ce sera massif ou panneau.